Bien avant la
clôture de l'exercice 2010, des signes avant coureurs avaient déclenché des
mesures concrètes et rigoureuses dans une optique de dynamique, les ateliers et
chantiers en levant toutes les contraintes qui constituent des obstacles à la
concrétisation des actions menées par les pouvoirs publics en matière de
développement local.
Les indicateurs
socio-économiques avaient détecté le rythme lent des réalisations et les
incessants appels à la relance sont vainement suivis. La lecture d'un taux de
consommation des crédits annuels n'a pas dépassé la barre des 36% pour tous
secteurs confondus.
Le processus de
gestion budgétaire est basé sur une budgétisation par programme, axée sur les
résultats et dont la rationalité implique la cohérence dans la consolidation de
tous les paliers structurels avec une visibilité alerte.
Les mutations
conjoncturelles de la rentrée sociale automnale auraient dû favoriser
relativement une relance efficiente des actions en cours.
Pour se ressaisir
à travers des engagements solennels pour développer les synergies utiles à
effacer l'incurie, rattraper les retards enregistrés, se mobiliser avec rigueur
et constance pour affronter les défis qui restent à relever pour le bien-être
de la collectivité.
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Posté Le : 04/01/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Menani Mohamed
Source : www.lequotidien-oran.com