Algérie - Affaires judiciaires

A Madame Bougrebine Fafa Presidente du Tribunal de Justice de Boufarik



A Madame Bougrebine Fafa Presidente du Tribunal de Justice de Boufarik

Si Ahmed Rodriguez Eduardo
Rue 31 des Amandiers 75020 Paris France
Tel: 0973528228
e.siahmed@laposte.net

Bouguebrine Fafa
Présidente du Tribunal de Boufarik

Madame la Présidente je vous refais cette lettre que vous avez lu, sans doute, car c'est sur, du temps vous en avez eu.

Des mois ont passé et rien ne change, aucune réponse en vue, je renonce a cette attente d'une ne serais ce quelconque bafouille. Mais! le monde bouge ce qui est, le sera-t-il aussi demain?
Ce Tribunal dont la charge vous incombe encore, mériterait peut être d'un peu plus de respectabilité ? Certes ce qui est fait et mal fait pourrait être enfin excusé.

Oui ! Vous absoudre ? Pourquoi pas ? Oui ! Je le peux, c'est vraie ! Je le veux, car les gens que vous employez encore, sont honnêtes, doctes et motivés.

Ce tribunal de Boufarik que jadis réussit a m'étouffer, a me tordre de rire tant ses jugements étaient soit illogiques ou loufoques en fait incompréhensibles mais drôles, pour finir lors de ses dernières décisions réussit a mettre ma santé en jeu oui !

A mon sens c'était une tentative d'assassinat, je pense que condamner quelqu'un, moi a l'occasion sans me connaitre et ce a trois ans de prison ce que fit madame Souag Fahima en ignorant mon âge et mon état de santé, réellement, c'était aberrant, inexcusable mais plausible.

Plus inexcusable, le jugement rendu par les magistrats Fodil Réda et Shérif Omar alors que j'étais face a eux, donc conscients de mon âge et de mon état physique, que j'ai donné en main propre mes papiers (Livret de famille) au juge Fodil et arboré mon passeport au devant du procureur Shérif Omar, ces magistrats ne pouvaient ignorer la véracité de mes dires comme l'authenticité de mes documents, ce sachant ils m'ont condamné a deux ans de prison et tout de suite privé de liberté jusqu'au nouveau jugement ( appel) donc huit mois de galère. Pourquoi ?

Madame Bouguebrine
Ce tribunal de Boufarik qui m'a si mal traité il y a plus de dix ans n'était pas le votre, plus modeste, il était obsolète et sans doute inapproprié. Le votre est tout neuf, spacieux et doté d'une grande modernité Je pouvais attendre sinon une amélioration du moins une efficacité et au final une éradication des faux jugements.

Hélas si j'ai constaté une réussite elle l'a été dans l'incompétence sérieuse des magistrats, quelle persévérance, quelle désinvolture, pulsion perverse ? légèreté professionnelle ? Je ne sais. Madame je n'imagine, ne songe que une présidente d'un tribunal de justice puisse approuver, tolérer tels agissements. Fort de mon innocence je décidais de m'en plaindre a qui de droit.
J'ai demandé a vous rencontrer, votre secrétaire m'a succinctement reçu j'ai attendu un quelconque résultat Oh! espoir déçu mais non perdu, l'habitude! Elle vous aura épargné le désagrément de connaitre ces turpitudes, ainsi l'ignorance assurerait votre tranquillité Pourtant elle semblait sure, docte, a l'allure jeune et dynamique, ferme, enfin qualifiée, elle décida quelques photocopies et lorsque je lui proposé mes documents ? Alors je constatais un léger et subtil vacillement, qu'avait 'elle pensé, compris?

Je revois le procureur rencontré le 15 Avril 2018 au tribunal d'Alger lui aussi dynamique et ferme et certainement qualifié qui en scrutant le mandat d'arrêt a mon sujet, devait décider de mon sort qui en examinant mes documents laissa échapper ce commentaire " Si ça se trouve tout ça n'est pas vraie". Elémentaire n'est pas ! Votre secrétaire avait compris!

Vous ne savais pas c'est sur, mon affaire n'est que la xmiliéme traitée dans votre tribunal de Boufarik et votre secrétaire n'allait pas vous inquiéter, vous courroucer pour ça!

C'est injuste vous devez, méritez savoir ce que votre tribunal c'est-à-dire vous a fait.

J'ai été condamné, des policiers et gendarmes armés m'ont jeté hors de chez moi, j'exhibais mes documents encore une fois en suppliant de ne pas commettre une pareil ignominie, rien n'y fit, le tribunal de Boufarik a scellé mon sort. Vous avez permis a Mr Messou Mustapha de s'accaparer du bien qu'ils (frères Messou) avaient vendu a mes parents en 1976.

La suite est trop longue et fastidieuse je l'abrège sans peine. A présent chez moi je vaque a ces souvenirs que si douloureux aient' ils été ne sont que futiles vacillements d'âme et sinécure au vu de l'image rendue par votre tribunal de Boufarik , tant ses jugements sont bizarres.

Huit mois à errer a droite et a gauche sans paix ni repos, racqueté par des lettrés sans vergogne sans reçu ni facture, a la merci de leur rapine, de leur satiété. Tel fut mon sort en cet an de 2018

Finalement votre Tribunal a été démenti, la Cour de Blida a conclu et déclaré mon innocence, le savez-vous ? Vos jugements a mon encontre sont cassés et inutiles, sans excuses ? Le mal est fait, cette lettre pourrait vous alerter, l'entendrez vous?
Devrais-je supplier un quelconque mot d'excuse, de réconfort, d'empathie ? J'ai survécu a mon assassinat, au racket, et subit un mépris ignoble. Je résiste, je tiens !

07/10/2019 11:01:53
























































































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