A l'assaut des signatures d'électeurs

L'opération de dépôt des candidatures à l'élection législative du 4 mai prochain se poursuit. Outre les partis politiques, des candidats indépendants sont également intéressés par une participation à cet événement politique.L'opération de dépôt des candidatures à l'élection législative du 4 mai prochain se poursuit. Outre les partis politiques, des candidats indépendants sont également intéressés par une participation à cet événement politique.Pour pouvoir prendre part au prochain scrutin, un candidat indépendant doit collecter 250 signatures d'électeurs, conformément aux dispositions relatives à la collecte des signatures et des parrainages prévues dans la nouvelle loi électorale. Les électeurs qui acceptent de parrainer un candidat indépendant doivent se présenter, personnellement, devant un officier public (un notaire ou un officier de justice) pour valider leur signature.Parmi eux il y a Nacer Boudiaf, fils du président défunt Mohamed Boudiaf qui a décidé de se présenter aux prochaines élections législatives prévues le 4 mai prochain. "J'ai pris la décision de me présenter aux prochaines élections législatives avec Rachid Nekkaz en tant qu'indépendants. Je serai tête de liste à Alger avec d'autres jeunes.Lui se présentera à Paris", explique Nacer Boudiaf. "J'ai acquis la conviction que le combat ne peut être mené en dehors du système mais à l'intérieur. Au moins, on peut avoir une tribune et poser les problèmes", explique notre interlocuteur qui vient de retirer le formulaire. Nacer Boudiaf n'est pas inquiet concernant la collecte des signatures exigée pour se présenter aux élections. Selon le nouveau code électoral, une liste indépendante doit être "appuyée d'au moins 200 signatures pour chaque siège à pourvoir parmi les électeurs de la circonscription électorale concernée".Pour pouvoir prendre part au prochain scrutin, un candidat indépendant doit collecter 250 signatures d'électeurs, conformément aux dispositions relatives à la collecte des signatures et des parrainages prévues dans la nouvelle loi électorale. Les électeurs qui acceptent de parrainer un candidat indépendant doivent se présenter, personnellement, devant un officier public (un notaire ou un officier de justice) pour valider leur signature.Parmi eux il y a Nacer Boudiaf, fils du président défunt Mohamed Boudiaf qui a décidé de se présenter aux prochaines élections législatives prévues le 4 mai prochain. "J'ai pris la décision de me présenter aux prochaines élections législatives avec Rachid Nekkaz en tant qu'indépendants. Je serai tête de liste à Alger avec d'autres jeunes.Lui se présentera à Paris", explique Nacer Boudiaf. "J'ai acquis la conviction que le combat ne peut être mené en dehors du système mais à l'intérieur. Au moins, on peut avoir une tribune et poser les problèmes", explique notre interlocuteur qui vient de retirer le formulaire. Nacer Boudiaf n'est pas inquiet concernant la collecte des signatures exigée pour se présenter aux élections. Selon le nouveau code électoral, une liste indépendante doit être "appuyée d'au moins 200 signatures pour chaque siège à pourvoir parmi les électeurs de la circonscription électorale concernée".