La cour de Blida était connue comme une juridiction couvrant huit tribunaux dont certains, sous une «bonne couverture», la gestion laissait à désirer, honnie par les faibles, les impuissants devant les agissements de certains magistrats, ou, pour être plus précis, par des spécialistes de coups fourrés, enfouis au sein même de la chancellerie, sans faire fi, de la renommée et de l'aura de la magistrature, dans son tout!«Ces gens malintentionnés, s'en f... éperdument de la réputation de la justice, donc de «Tamourth», et s'en donnaient à coeur joie de «voler» les droits des justiciables, dont certains n'oublieront jamais la condamnation d'un bébé d'à peine «douze semaines», parce que la juge du jour du tribunal de Chéraga, aurait eu comme «instruction» de condamner le papa, un ancien officier de l'ALN, et sa fille alors âgée de plus de quarante ans. Cependant, au moment des faits, la fille qui a entendu les six mois assortis du... sursis, elle n'était même pas sortie des langes. Heureusement qu' à Blida, en appel, des magistrats, après avoir «grondé» la condamnée en première instance, corrigèrent la bévue, en ôtant le sursis.
Bien plus tard, la cour s'étant débarrassée du tribunal de Chéraga, avec la création de la cour de Tipaza, Blida reprit de plus belle son chemin de recherche de la vérité! 2022, une virée nous fit découvrir un lieu paisible, où les gens étaient royalement servis, le guichet unique fonctionnant à merveille, des procureurs généraux adjoints, agréablement répartis entre les étages, la modernisation locale étant bien tenue, des greffiers attachés à leurs tâches quotidiennes, et des justiciables heureux d'avoir été servis le jour même, afin de regagner, Larbaâ, El Affroun, Benchaâbane, Soug-Essebt, et autres La Chiffa, Mouzaïa. Il est vrai que le chefs de cour, sont constamment derrière le personnel, en vue de sauver la réputation de la cour de la ville des «Roses», et d'éviter les foudres d'éventuelles poursuites administratives et autres sanctions, bêtes et gratuites!
Il faut vite préciser que les secrétariats du président de cour et du procureur général sont sur place depuis une vingtaine d'années, et donc la vigilance, est pour eux du gâteau!
La confiance réciproque fait qu'il n'y a jamais de malentendu à la maison! Bonne chance laes gars à l'aube de la retrée judiciaire 2022/2023.
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Posté Le : 09/10/2022
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Abdellatif TOUALBIA
Source : www.lexpressiondz.com