Il y avait une règle intransgressible : en toute circonstance, le phare devait s’allumer à la fin du jour et briller toute la nuit pour lancer deux éclats vers la terre et deux éclats vers la mer. Pourtant, le 10 février 1956, le feu qui porte à 20 milles nautiques s’éteint. Il est la cible d’une attaque d’un groupe de combattants de l’ALN, commandé par feu Laïssani. Le phare est détruit et l’un des gardiens français du nom de Tortora, présent sur les lieux cette nuit-là, est égorgé. (Un témoignage sur cet incident?)
Sarah - Etudiante - Alger, Algérie
14/05/2020 - 418748