Monsieur kerfah merci pour toute les efforts que vous faite concernant je suite allez a guelbe El kebir et j'ai trouvais la wali Salah sidi hellal je voudrais avoir une partie historique sur lui et qui s'pcupe actuellement sur cette sacrée marabout merci monsieur kerfah
ziane redouane - photographe - alger, Algérie
12/11/2018 - 389899
suite a l'executiondes loisdu 28 avril 1887application des§ 1et2 du senatus consulte du 22 avril 1863
DOUAR TCHAIF (commune de beni slimane actuel) wilaya de medea,est situe
-- a l'ouest douar ahl el euch
-- a l'est douar mezghenna
-- au sud douar el guelb
-- au nord douar el ouzana
le douar tchaif est compose en plusieur groupes
-- Grpe n° 01
_ Grpe n° 02
-- Grpe n° 03 djama3 sidi slimane
-- Grpe n° 04 sidi bahalil
-- Grpe n° 05
-- Grpe n° 06 el ramada
-- Grpe n° 07
-- Grpe n° 08 djama3 sidi el hachemi
-- Grpe n° 09 souk el arbah
-- Grpe n° 10 marabout sidi el habchi
-- Grpe n° 11 sidi mossabih
-- Grpe n° 12 sidi rabah
-- Grpe n° 13 sidi chebbatla
-- Grpe n° 14 sids moubarek
-- Grpe n° 15 sidi dahabi
-- Grpe n° 15bis sidi ma3mar ahl aldr
-- Grpe n° 16 sidi moulharar
-- Grpe n° 16bis sidi alkaloua
mon enquete se termine ici a bientot ...
laidaoui hamid - retraite - alger, Algérie
04/11/2016 - 315432
je voudrais remercier monsieur KERFAH pour l'interet qu'il porte à la commune de Beni-slimane et par la meme occasion apporter quelques rectificatifs pouir les noms evoques dans le sujet consacre à l'Ecole mixte des années 1970à1978date à laquelle le siège a été transféré à la nouvelle ville sous la direction de Mr Toumache abdelaziz .Pour ce qui est du nom de (Aissa Koais) enseignant francisant de l'année 1974 ce n'est qu'un surnom qui lui a été donné par ses élèves de son vrai nom MEDJBOUR AHMED originaire de la ville de tablat(2 bassins).quant à monsieur DAHMANI ALI qui était directeur il est passé au grade de conseiller pédagogique pour le secteur de béni-slimane:D.C.D(allah yarahmou).
SAADI MOHAMED - Enseignant francisant retraité - BENI-SLIMANE MEDEA, Algérie
22/02/2016 - 294889
Je tiens à remercier monsieur kerfah ali pour l"attention et l"interet qu"il porte à la ville de béni-slimane et apporter quelques rectificatifs au sujet de l"école mixte de béni-slimane des années 1972 à ce jour.Pour celui de (AISSA KOAIS) comme vous l"avez appelé c"est un surnom qui lui a ete donné par les élèves de son vrai nom MEDJBOUR AHMED originaire de la ville de tablat(2bassins).Mr dahmani Ali qui est décédé.le reste des enseignants cités dans votre article sont tous en retraite.
SAADI MOHAMED - ENSEIGNANT FRANCISANT A BENI-SLIMANE (en retraite) - BENI-SLIMANE, Algérie
22/02/2016 - 294883
Je cherche le nom du caïd de béni Slimane merci
mokadem yazid - eleve historien - alger, Algérie
05/07/2015 - 266020
Je voulais m’étalais sur le sujet de la ferme de Beni slimane , il y a tant de choses de raconter dessus : la vie quotidienne des fermiers, la période d’hiver , la ferme durant la guerre d’indépendance .. mais une question posée par l’un des internaute a orienté ma pensée à une période très importante de l’histoire de Béni Slimane ou plutôt des Béni slimane , il s’git de la période allant de la conquête de la région jusqu’à la première guerre mondiale . la région à cette époque c’était sous l’autorité de plusieurs Caïds , tous sous l’autorité du bachagha, relevant du beyllik d’Alger, et parfois annexé au beyllik du Tetteri. Et en dehors du fief du bachagha et du caïd , la population vivait groupée en mechtas. A la différence du douar, le mechta est à la fois une ferme et un douar, un vraisemblable enchevêtrement de gourbis , de greniers, et d’amas de foin, de fumiers, et de fagot de bois . En période d’hiver, tout fond dans la paysage couvert de neige et l’on ne voit que des fils du fumé dans le ciel , témoins de l’existence d’une mechta. le capitaine PERIN , rapporteur du Maréchal Randon, à son passage en 1858 , par la route d’Aumale, décrit les mechtas des Beni slimane comme des fourmilières. La population qui vivent dans les Aghaliks , travaillent les terres du bachagha ou des caïds, et prennent le cinquième de la récolte. Les loyalistes entre eux travaillent au sérail du bachagha, ils assurent l’entretien de ses demeures et lui servent de garde et de milices. A l’époque des ottomane , 50 % de la récolte est conservé par le bachagha et le reste est donné au beylik d’Alger, en recevant en contre partie les vêtements , des armes et de la munition, ainsi que quelques denrées rares telles que : le savon, le café , sucre, thé, et des épices. Ceux qui vivent dans les mechtas, utilisent les moyens rudimentaire de culture, et vivent à la merci de la nature : inondation , chute massive de neige, sécheresse ..et en plus, ils sont soumis à un régime excessif d’impôt allant de 20 à 50 % payé au bachagha chaque année, en mois de septembre généralement. Ce régime a transformé les mechtas en de véritables nids de pauvreté et de misère. Le Bey, quant il constate un défaut dans la collecte de impôts, envoie ses troupes dans les douars et les mechtas, ils emportent tout ce qu’il trouvent. Une véritable Razzia organisée à l’honneur du palais du Dey d’Alger. Pour le rappel, les français ont conservé les bachaghlik même avec mise en vigueur du sinatus consult . les territoires internes demeurent sous l’administration militaire , gouvernées par l’intermédiaire de bachaghas, jusqu’au 1881 date de promulgation du code d’indigénat et le passage à l’administration civile puis l’arrivé des première vagues de colons européens . Les Beni Slimane passait officiellement sous l’autorité du bachagha Si Tahar ben Mohiédine en janvier 1852, décoré plusieurs fois, dont la dernière fut par Napoléon III , en 1968 lors de sont passage à Alger. Le bachagha ben Mohiédine est reconnu par la France pour les services rendus lors de la compagne du Général Mac Mahon dans la région , et la médiation qu’il a joué lors de la capitulation de Fatma Nsoumer . Celle-ci, a séjourné dans sa Zaouïa à beni Boumaali près de Tablât, puis transférée à une prison à beni slimane, où elle y resta jusqu’à sa mort en 1863. Les bachaghas qui voyait disparaitre leurs prestiges ont choisi l’exil au Maroc ou en orient, d’autres ont rallié l’insurrection à l’instar de Lhadj Mohamed El mokrani, ou inciter leurs hommes de rejoindre les rangs de Ahmed bey à Constantine. Quoi qu’il en soit l’abolition du régime des bachaghas en 1881 a marqué un important tournant dans l’histoire d’Algérie, et mis fin au rêve de Napoléon III (destitué en 1870) d’instaurer un royaume franco-musulman en Afrique du nord. Les Beni slimane, selon le découpage des bachaghaliks , s’étendait de Bouira vers l’oust jusqu’au Berrouaguia ver l’est, divisé en Beni slimane chraga, et beni slimane ghraba. Au debut du siècle dernier, organisation administrative civile a donné la dénomination de Beni slimane aux territoirex allant de souk Larbaa à sidi Naamane, au nord c’était le douar des Mezghenna qui faisait frontières entre Beni Slimane et Tablât. Les mechtas se trouvaient au bord des oueds ou l’eau est peu profonde en période d’été, il y avait une dizaine de mechtas sur l’oued el Kabîr , un dizaine sur oued Djbailia. Il y en avait encore à souk Larbaa vers Bir Ben abed. A l’actuel Beni slimane, qui se trouve au jonction de deux Oued : Oued el El Djbailia et Oued Aalem.Le sol sédimentaire est riche en dépôts organiques et très fertile. Il y avait deux grandes mechtas dans les deux rives de Oued Aalem. La population des deux mechtas ont été dépossédées et chassées par les colons aidés par les troupe de l’armée française , pour donner lieu à l’implantion de la ferme de Beni slimane. Encore que les archives Othomanes parlent d’une Dar El Ouasta ( camps de passage) édifié par les turcs vers 1780 et à l’endroit ou se trouve l’actuel stade communal de Beni slimane , ce camp servait de lieu de repos des garnisons turques de passage, et des collecteurs d’impôts.
KARFAH ALI - CADRE - ALGER, Algérie
18/06/2015 - 263051
merci Mr Karfah , pour ce recueil historique sur la ville de beni slimane j'imagine pas qlq qui peut donner tous le détail de cette periode d'histoire de beni slimane. seulement si vous donnez la sources de tous ces informations.
Boumbadji .A - Etudiant - Beni slimane, Algérie
18/06/2015 - 263044
La répartition des terres a été faite dés le début. Des affectations ont été faite selon la nature de ta terres et de la pluviométrie et s’est amélioré par la suite compte tenu du rendement de chaque localité. La loi foncière des colonies prévoit la création des fermes uniquement dans les terres fertiles et sous contrôle total des autorités coloniales. Les premiers colons voulurent planter des vignobles à l’instar des fermes de Loverdo et de Champlain (actuel Ouazra et Loamaria). Mais le manque de précipitations, et les longues périodes sèches en été, font que la région s’apprête bien aux céréales qu’à d’autres produits plus sensibles au climat. Le maraichage au bord des oueds, les céréales dans les vastes plaines. Quelques surfaces sont conservés à proximité de la ferme pour le fourrage, Luzerne généralement, servant pour l’ensilage ; et de l’orge méditerranéen pour le pâturage intermittent en mois de décembre et janvier.
Dans les années 30 il n’avait ni tracteurs ni moissonneuses, tout se faisait à la main. Le labour par la charrue et l’erse tirés par les chevaux ; la moisson à cout de faux et de faucille. Dans la compagne de labour en 1933, 70 paires de chevaux, et 50 charrues de type Pluchet à soc d’acier, ont été affectées aux champs en mois d’octobre 1933, dont une vingtaine de chevaux furent prêtés aux Houches de Marsqueray (Djoueb actuellement).
En 1950, et vu les performances de la ferme, la banque d’Aumale à consenti une importante ligne de crédit pour l’achat de tracteurs et de moissonneuses. Cette année plusieurs ouvrage ont été realisés : la niche qui devait recevoir le géant groupe électrogène, et le hangar qui abrite les engins agricoles, la cité des agriculteurs qui se trouve à l’ancienne ville où l’on a installé à l’indépendance la coopérative C.A.P.C.S. La ville de Beni slimane commence à avoir réellement un aspect moderne, surtout avec la nouvelle station de carburants, la villa du gouverneur civil, la salle de Cinéma (transformé au Nadi Echabab à l’indépendance) la taverne et le bureau de poste.
La liaison est assurée deux fois par semaine à Ain bessam, et une fois à l’Arbaa.
Dommage que le site ne permet pas d’insérer des photos sinon, il y’en a plusieurs telles : la compagne de moisson 1957, la compagne de labour 1951, les vendanges 1949, tous cela à Beni slimane.
La sciène la plus marquante et celle des dizaines de moissonneuses de Marque : MASSEY HARRIS, toutes neuves et luisantes, peintes en vert sapin, faisant l’allée-retour dans la plaine de Haouata. Une image digne de la Californie Américaine ! A suivre..
KARFAH ALI - CADRE - ALGER, Algérie
26/05/2015 - 259552
bonjour tout le monde, il y deux catégorie de gens qui fréquente ce site, des jeunes qui ne savent rien de leur bled et qui ne veulent rien profiter non plus, malheureusement c'est la rialité. et une catégorie de gen qui croit tout savoir sur la ville de beni slimane..pas possible de rapprocher le mont tchaief à celui de bougaouden ! en en plus ce site me parait qu'il est pent en noir et blanc ...pas de photos pas de couleur .... rien sur toute la ligne.
ZAHRA la fuyarde - Femme au foyer. - Blida, Algérie
26/05/2015 - 259542
OAAAAAAAH Monsieur karfah ! la première fois que je lis des choses comme ça sur Bni Slimane. et je suis fière d'appartenir à un bled qui a une longue histoire.Aussi me parait-il que toute les localités de la région avaient un non auropéen tel Aumale, Stephane gezel ... sauf bni slimane qu'il est connu depuis les turcs par Bni slimane.
une question Karfah : puisque vous etes connaisseur de l'histoire de l'agriculture à Bni slimane : c'ést quoi les Mechta. on dit qu'à beni slimane c'etait plen de mechtas .
merci encore Mr Kerfah.
AOUADJ BENHAMOUDA - INSPECTEUR RETRAITE - BENI SLIMANE, Algérie
25/05/2015 - 259370
Le plus grand défaut de la jeunesse n'est pas de manquer d'expérience, c'est d'ignorer qu'elle en manque, et de croire qu'elle pensera toujours comme elle pense, et qu'elle fera toujours ce qu'elle souhaite faire.
guenfoud - Modeste Ingénieur et Fellah - Ben shaba,Dechmia, Algérie
24/05/2015 - 259246
Dommage pas contribution ! Beni Slimane est si chère que l’on ne parle pas . Même Mr Karfah semble fâché. Que dieu apporte son secours et son salut à cette pauvre de bled !
LOUIZA BARRANI - Enseignante - BARIKA, Algérie
20/05/2015 - 258483
Qui ne connaît pas la ferme de Beni Slimane ! ou tout simplement ELFIRMA. Elle fut une fois la principale source de richesse des Slimani dans la période post-indépendance. Les grandes familles ont toutes un membre qui y travaille. Et en dépit de la politique d’autogestion et de la révolution agraire à laquelle elle fut soumise, et la nationalisation à outrance de la ferme, elle fut même baptisée la firme de Si Rabah à la fin des années soixante-dix, la ferme de Beni Slimane a toujours gardé l’odeur des ses premiers pionniers français : Guy le forgeron et George le planteur glaneur. Tellement qu’ils se donnaient cœur et âme à l’entretien de la ferme que l’on dise que leur spectre flâne dans les alentours jusqu’à ce jour.
La ferme se situe au nord-est de la ville de Beni slimane, le bâtiment administratif se trouve dans l’ancienne ville coloniale, elle fut repérée par deux monuments : le château d’eau doté d’une très puissante sirène « el baouaka » entendu à 5 kilomètres, et le silo de céréales vu à trois kilomètres. Les deux monuments furent détruits dans les 80. La ferme fut créé au début du siècle dernier vers 1905 par un certain colon qui s’appelait DOUBLAY, La propreté s’étendait sur des milliers d’hectares atteignant Houache Eezzaboudj vers l’est et sidi laakrout vers l’oust, la superficie des terres a diminué vers l’année 1925 suite à un transfert de propriété dû à un nantissement contracté avec les bailleurs de fonds européens et non honoré. Malgré l’élargissement opéré par la suite, vers le nord par rachat et par la confiscation des terres appartenant aux autochtones, les nouvelles surfaces on été planté seulement d’oliviers et d’eucalyptus pour assurer la stabilité du sol et délimiter la propriété du coté nord.
La ferme a connu sa prospérité à partir de 1932, après la relance de l’économie française après des années de récession causée par la première guerre mondiale et les retombées de la crise de 1929. Le gouvernement d’Edouard Daladier voulut relancer la consommation ménagère en France, mais les compagnes françaises, affaiblies par la crise, furent en deçà de la demande, et beaucoup moins compétitives. Les produits provenant des colonies, notamment d’Algérie, coulaient à flot à la métropole. Au port d’Alger ; les dockers travaillent jour et nuit pour charger les bateaux de marchandise : fruits, légumes et bétail. Les écuries de la maison carrée furent construites pour servir de relais pour le batail provenant des régions intérieures. 20 % des produits est fourni par la plaine de Béni Slimane , au deuxième rang après la Mitidja.
A suivre…
KARFAH ALI - CADRE - ALGER, Algérie
18/05/2015 - 258248
Je remercie toutes les bonnes volontés qui se manifestent pour la protection et la défense de l'originalité de Beni slimane et d'autres endroits merveilleux comme le mont bougaouden ......etc.
E n effet Beni slimane hérite d'une reputation tres considéré de par ses terres arables et qu'en est 'il des evénements historiques qu'a connu cette région durant la révolution et les dix années noires récemment .
Chaque citoyen connaissant cette region devra normalement contribuer a sa sauvegarde et son développement tout en protegeant son originalité pour offrir une véritable assise aux générations futures et ne pas la laisser livrée à l'anarchie.
Merci encore a tous les internautes,de par leurs enthousiasme et leurs bon sens de compréhension pour se consacrer et consentir a renforcer les liens,pour sauvegarder cette attitude d'attachement à leur chère commune.
GUENFOUD - Fellah - Ben s'haba,DECHMIA, Algérie
28/01/2015 - 238385
Merci Lyes de votre participation ! tu ajoutes ainsi une pierre à l'edifice. la grace revient à Mr Karfah , une veritable encyclopédie, un réel Slimani. Quant il parlait de l’ancienne école primaire de Beni slimane, moi, ai eu les larmes aux yeux ! dommage il ya pas de photos de l’époque ! justement, Par là aussi, je le sollicite Mr. karfah, avec l’aide des autres participants de céér un site web dédié à la ville de beni slimane, et de recolter tous les propos la concernant. qui sait ?! çela , peurait contribuer à son développement et à l'épanuoissement de sa jeunesse.
LOUIZA - Enseignante - Barika, Algérie
16/12/2014 - 228807
Bonjour à tous,
Certes Mme Louiza on est occupé, car ce mode de vie nous a apprit à courir derrière des tas de choses inutiles, au détriment de notre histoire, culture etc…
Croyez moi que j’ai découvert ce site par accident et j’espère sa vulgarisation à tous et particulièrement aux SLIMANI, aussi, je les exhorte à l’enrichir davantage.
A bientôt
HABIB LYES - SANS - ALGER, Algérie
05/12/2014 - 226051
je suis chaimaa ☺
chaimaa Rahaf - etudiente - oran, Algérie
02/12/2014 - 225294
A qui tu récite ta bible mon chère KARFAH ??il parrait qu'il n y a pas de Slimani sur le Net , ils sont occupés par autres choses, ou peu etre le temps s'est arrete dans cette region !
dommage qe je suis une Slimani comme eux !
LOUIZA - Enseignante - Batna, Algérie
22/01/2014 - 170223
bonjeur bour touts les habitant de beni slimane
mahraz tarik - cadre dans MEM - beni slimane medea, Algérie
31/07/2013 - 111865
A l’instar des autres contrées, Béni Slimane est un produit de concours d’un nombre d’événements et de circonstances, auquel s’ajoute la violenté et la persévérance de ses habitants de se confirmer et de se tailler une place dans la grande nation algérienne.
Avant l’arrivée des colons, les Slimani menaient leur vie dure mais paisible. Ils étaient au cœur de la fameuse grande plaine de Beni Slimane, ils vivaient des activités agropastorales, et du commerce du bétail et des denrées alimentaires avec le les régions du beylec de Médéa et les régions des montagnes de la kabylie. Les vastes plaines produisaient les céréales et le bétail, les montagnes les légumes, l’huile d’olive le savon et les figues sèches.
Benis slimane est la croisée des chemins à ce jour,
-la route du bétail : - Djelfa Oussama via oued el kébir Mezghenna Tablat vers la maison carrée.
-la route des denrées (Ennaama) : Berrouguia- Ghbalou- Bouira vers la basse kabylie et l’est algérien
Les grand s achemineurs du bétail qui faisaient Ouassar – Larbaa à pied vivent encore, et racontent leurs anecdotes sur la rencontres des brigands et des loups. A suivre ……..
KARFAH ALI - Cadre - Alger, Algérie
09/01/2013 - 59680