Algérie

98 % de la population raccordés à un réseau d'alimentation



98 % de la population raccordés à un réseau d'alimentation
La population algérienne est raccordée, à 98 %, à un réseau d'alimentation en eau potable et 75 % d'entre eux reçoivent l'eau en continu, a déclaré, jeudi à Alger, le ministre de l'Hydraulique et des Ressources en eau, Hocine Necib.La population algérienne est raccordée, à 98 %, à un réseau d'alimentation en eau potable et 75 % d'entre eux reçoivent l'eau en continu, a déclaré, jeudi à Alger, le ministre de l'Hydraulique et des Ressources en eau, Hocine Necib."Sur les 98 % de la population algérienne raccordée à l'eau potable, 75 % reçoivent de l'eau en continu, soit 24h sur 24, ou une ou deux fois par jour et les 25 % restants reçoivent de l'eau avec une réduction dans la fréquence de distribution", a précisé M. Necib, lors d'une journée de sensibilisation aux changements climatiques, organisée par le ministère de l'Hydraulique, en collaboration avec l'organisme de coopération allemand GTZ, sur la thématique :"Changements climatiques : quels défis pour les ressources en eau". Le ministre a ajouté sur le même sujet que les eaux usées et épurées étaient destinées à l'agriculture en vue de l'irrigation rapporte l'APS. S'exprimant sur les changements climatiques, M. Necib a indiqué que c'est l'une des préoccupations majeures du secteur de l'hydraulique, rappelant que les perturbations climatiques avaient un impact négatif sur les ressources en eau. De son côté, le conseiller au ministère de l'Hydraulique, Rachid Taibi, a rappelé que les modèles globaux réalisés par l'organisation mondiale de météorologie montraient que les changements climatiques mondiaux se répercuteront négativement sur l'Algérie.Ces changements auront pour impact sur l'Algérie une baisse de la précipitation, l'accentuation des phénomènes extrêmes comme la sécheresse et des pluies torrentielles qui conduiront à des inondations, a-t-il ajouté. Pour M. Taibi, la préservation des ressources en eau doit s'effectuer à travers l'atténuation des changements climatiques via la réduction de la consommation et des rejets d'énergies, la mobilisation et la régulation des ressources hydriques par des barrages. Pour sa part, le directeur climatologique national, Djamel Boucherf, a suggéré la mise en place de systèmes de veille et d'alerte pour les inondations, sécheresses et vagues de froid. Le directeur en climatologie a noté l'importance de mettre ces systèmes de veille à la disposition de tous les secteurs pour une aide à la décision en cas de changements climatiques brusques."Sur les 98 % de la population algérienne raccordée à l'eau potable, 75 % reçoivent de l'eau en continu, soit 24h sur 24, ou une ou deux fois par jour et les 25 % restants reçoivent de l'eau avec une réduction dans la fréquence de distribution", a précisé M. Necib, lors d'une journée de sensibilisation aux changements climatiques, organisée par le ministère de l'Hydraulique, en collaboration avec l'organisme de coopération allemand GTZ, sur la thématique :"Changements climatiques : quels défis pour les ressources en eau". Le ministre a ajouté sur le même sujet que les eaux usées et épurées étaient destinées à l'agriculture en vue de l'irrigation rapporte l'APS. S'exprimant sur les changements climatiques, M. Necib a indiqué que c'est l'une des préoccupations majeures du secteur de l'hydraulique, rappelant que les perturbations climatiques avaient un impact négatif sur les ressources en eau. De son côté, le conseiller au ministère de l'Hydraulique, Rachid Taibi, a rappelé que les modèles globaux réalisés par l'organisation mondiale de météorologie montraient que les changements climatiques mondiaux se répercuteront négativement sur l'Algérie.Ces changements auront pour impact sur l'Algérie une baisse de la précipitation, l'accentuation des phénomènes extrêmes comme la sécheresse et des pluies torrentielles qui conduiront à des inondations, a-t-il ajouté. Pour M. Taibi, la préservation des ressources en eau doit s'effectuer à travers l'atténuation des changements climatiques via la réduction de la consommation et des rejets d'énergies, la mobilisation et la régulation des ressources hydriques par des barrages. Pour sa part, le directeur climatologique national, Djamel Boucherf, a suggéré la mise en place de systèmes de veille et d'alerte pour les inondations, sécheresses et vagues de froid. Le directeur en climatologie a noté l'importance de mettre ces systèmes de veille à la disposition de tous les secteurs pour une aide à la décision en cas de changements climatiques brusques.




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