Algérie

87% des nouveaux consommateurs dans les pays émergents d'ici 2020



Une étude effectuée par Accenture et Oxford Economics dans 64 pays indiquent que 87% des 124 millions des nouveaux consommateurs qui participeront à l'économie mondiale se situeront dans les pays émergents d'ici à 2020, soit un marché de 8,5 billions $ de revenus supplémentaires pour ces ménages.Une partie significative des ménages de ces 21 pays, dont la Pologne, l'Arménie, le Ghana, l'Egypte, la Malaisie, le Nigeria, le Kazakhstan ou la Colombie?. disposeront en 2020 d'un revenu supérieur à 50 000 $.
La Turquie connaîtra la plus forte hausse de revenus de ses ménages parmi ceux gagnant au moins 50 000 $ d'ici 2020, soit une augmentation de près de 150 %, à 635 milliards de dollars.
Sur les 588 chefs d'entreprises interrogés dans 85 pays, 80% affirment que leur croissance repose essentiellement sur les marchés émergents.
Le G20 veut faire baisser de 10 à 5% les coûts
de transfert d'argent vers l'Afrique
En 2010, les fonds transférés vers l'Afrique par sa diaspora étaient de plus de 30 milliards d'euros pour un coût de transfert moyen de 10%. En marge d'une conférence sur les transferts de fonds des migrants, co-organisée avec la Banque africaine de développement, Henri de Raincourt, ministre français à la Coopération, a souhaité une réduction significative des frais de transfert d'argent des diasporas vers leur pays d'origine dans le sens de l'initiative du groupe des vingt premières puissances mondiales (G20) : « Les premiers contributeurs de l'aide au développement sont les migrants et non les Etats » a-t-il déclaré, ajoutant : «Aujourd'hui, un envoi de 100 euros, de compte à compte, aux Comores par exemple, coûte plus de 15 euros » alors que l'envoi de « la même somme au Maroc peut coûter 1,50 euro». Le G20 souhaite une réduction des coûts de transferts à 5% du montant envoyé ce qui pourrait entrainer, en 2014, 2 milliards d'euros supplémentaires de revenus pour les familles africaines. Ces diasporas constituent désormais, pour certaines zones émergentes, les premiers contributeurs de l'aide au développement et dans une vingtaine de pays comme les Philippines ou le Cap-Vert? les transferts représentent plus de 10% du PIB.
HSBC prévoit une croissance du commerce mondial de +4% par an jusqu'en 2016
Le dernier rapport d'HSBC sur les perspectives du commerce international indique que sur les cinq prochaines années, les échanges commerciaux mondiaux devraient croître à un taux de 3,78 % par an. De 2017-2021, la banque prévoit une accélération de la croissance à un taux de 6,23 % par an. Le commerce mondial devrait progresser de 86 % de 2012 à 2026 à 53 800 milliards $, contre 28 900 milliards $ prévus en 2012.
Au niveau mondial, le secteur, qui connaîtra la croissance la plus rapide, sera celui de l'électricité avec un taux annualisé de 9,14% au cours des cinq prochaines années.
Une étude effectuée par Accenture et Oxford Economics dans 64 pays indiquent que 87% des 124 millions des nouveaux consommateurs qui participeront à l'économie mondiale se situeront dans les pays émergents d'ici à 2020, soit un marché de 8,5 billions $ de revenus supplémentaires pour ces ménages.
Une partie significative des ménages de ces 21 pays, dont la Pologne, l'Arménie, le Ghana, l'Egypte, la Malaisie, le Nigeria, le Kazakhstan ou la Colombie?. disposeront en 2020 d'un revenu supérieur à 50 000 $.
La Turquie connaîtra la plus forte hausse de revenus de ses ménages parmi ceux gagnant au moins 50 000 $ d'ici 2020, soit une augmentation de près de 150 %, à 635 milliards de dollars.
Sur les 588 chefs d'entreprises interrogés dans 85 pays, 80% affirment que leur croissance repose essentiellement sur les marchés émergents.
Le G20 veut faire baisser de 10 à 5% les coûts
de transfert d'argent vers l'Afrique
En 2010, les fonds transférés vers l'Afrique par sa diaspora étaient de plus de 30 milliards d'euros pour un coût de transfert moyen de 10%. En marge d'une conférence sur les transferts de fonds des migrants, co-organisée avec la Banque africaine de développement, Henri de Raincourt, ministre français à la Coopération, a souhaité une réduction significative des frais de transfert d'argent des diasporas vers leur pays d'origine dans le sens de l'initiative du groupe des vingt premières puissances mondiales (G20) : « Les premiers contributeurs de l'aide au développement sont les migrants et non les Etats » a-t-il déclaré, ajoutant : «Aujourd'hui, un envoi de 100 euros, de compte à compte, aux Comores par exemple, coûte plus de 15 euros » alors que l'envoi de « la même somme au Maroc peut coûter 1,50 euro». Le G20 souhaite une réduction des coûts de transferts à 5% du montant envoyé ce qui pourrait entrainer, en 2014, 2 milliards d'euros supplémentaires de revenus pour les familles africaines. Ces diasporas constituent désormais, pour certaines zones émergentes, les premiers contributeurs de l'aide au développement et dans une vingtaine de pays comme les Philippines ou le Cap-Vert? les transferts représentent plus de 10% du PIB.
HSBC prévoit une croissance du commerce mondial de +4% par an jusqu'en 2016
Le dernier rapport d'HSBC sur les perspectives du commerce international indique que sur les cinq prochaines années, les échanges commerciaux mondiaux devraient croître à un taux de 3,78 % par an. De 2017-2021, la banque prévoit une accélération de la croissance à un taux de 6,23 % par an. Le commerce mondial devrait progresser de 86 % de 2012 à 2026 à 53 800 milliards $, contre 28 900 milliards $ prévus en 2012.
Au niveau mondial, le secteur, qui connaîtra la croissance la plus rapide, sera celui de l'électricité avec un taux annualisé de 9,14% au cours des cinq prochaines années.


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