Algérie

7e FESTIVAL ARABO-AFRICAIN DE DANSE POPULAIRE DE TIZI-OUZOU Une édition au service du cinquantenaire



7e FESTIVAL ARABO-AFRICAIN DE DANSE POPULAIRE DE TIZI-OUZOU                                    Une édition au service du cinquantenaire
Depuis mercredi 4 juillet, la ville des Genêts et les 21 daïras que compte la wilaya vivent au rythme de la fête et de la commémoration du cinquantenaire de l'indépendance.
L'édition de cette année a tout de même une particularité. Les troupes moyen-orientales, africaines ou celles de la rive nord de la Méditerranée ont défilé sous les mêmes couleurs, vert, blanc et rouge. C'est donc une façon, pour les pays frères, de célébrer avec nous le 50e anniversaire de l'indépendance. Le Festival arabo-africain, pour sa 7e édition, a démarré, mercredi, en fin de journée et durera jusqu'à mardi prochain. Sept jours durant lesquels la population de la région s'agitera au rythme des danses populaires de pas moins une quinzaine de pays, mais aussi de ceux des chansons kabyles, chaâbies, chaouies… Les troupes participantes ont amorcé un défilé à partir du stade du 1er Novembre —une date aussi symbolique que celle qui a vu l'indépendance de l'Algérie — traversé les principales artères de l'ancienne ville pour aboutir, enfin, à la maison de la culture Mouloud-Mammeri où elles ont été présentées pour la cérémonie d'ouverture. Le commissaire du festival, après avoir souhaité la bienvenue à ses invités, a relevé le cachet particulier de la manifestation de cette année, à savoir sa coïncidence avec le cinquantenaire de l'indépendance du pays, tout en insistant sur la qualité des chorégraphies que réunirait ce festival. L'Ivoirien Félix-Alain Tailly ou encore M. Salah, chef de la délégation palestinienne ont, de leur côté, présenté aux Algériens leurs vœux et ceux de leurs compatriotes. Par ailleurs, et toujours pour cette journée d'ouverture, le public, qui s'est déplacé au stade Oukil-Ramdane, un site mitoyen avec la Maison de la culture, a vu se produire, les troupes de Jordanie, de Palestine, de Sétif, de Ath-Yenni et dansé au rythme des chansons de Nacer-Eddine Galiz, Saïd Youcef, Akli Yahiatène, ou encore celles de Zahouania.


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