700 millions d'euros sur fonds propres pour son extension

L'extension de l'aéroport international Houari Boumediène d'Alger coûtera quelque 700 millions d'euros, une somme que la Société de gestion des services et infrastructures aéroportuaires (SGSIA, de statut EPIC) a prélevée de ses fonds propres.L'extension de l'aéroport international Houari Boumediène d'Alger coûtera quelque 700 millions d'euros, une somme que la Société de gestion des services et infrastructures aéroportuaires (SGSIA, de statut EPIC) a prélevée de ses fonds propres.Cette procédure fait suite à la décision du gouvernement de ne plus financer d'une façon automatique sur le budget de l'Etat les infrastructures et équipements publics. Les maîtres d'ouvrages et agences d'exécutions devraient désormais solliciter leurs fonds propres, lorsqu'il s'agit d'une SPA ou d'un EPIC, ou le marché financier lorsqu'il s'agit d'une administration publique. Tahar Allache, Président directeur général de SGSIA, vient de déclarer que l'aéroport d'Alger sera doté d'une nouvelle aérogare, dont les travaux sont déjà entamés mais allant à un rythme non satisfaisant en raison de la nature du sol.Les travaux de la première phase - excavation et réseaux- sont achevés. La troisième aérogare est prévue à l'horizon 2032, avec une capacité de 10 millions de voyageurs par an. Sa capacité globale atteindra alors 16 millions de voyageurs/an. Le terminal 1, réservé aux lignes internationales, possède une capacité de traitement de 6 millions de passagers par an sur une surface globale de 8,2 hectares. Le terminal 2, qui s'étend sur une superficie de 2,9 hectares, est dédié aux lignes intérieures, supportant un traitement de 2,5 millions de passagers par an.Le terminal 3 est réservé aux vols charters Omra et Hadj, avec un million de passagers par an. Le plan de modernisation concerne le salon d'honneur, l'aérogare des vols intérieurs et des hadjis ainsi que la tour de contrôle. Le projet du nouvel aéroport d'Alger est situé à l'ouest de l'aérogare internationale actuelle, jouxtant la voie rapide de la Rocade Sud. Dans une déclaration faite au magazine El Djazaïr.com n°88 du mois de juillet dernier, Tahar Allache révèle que ce nouvel aéroport comprendra un bâtiment aérogare passagers de 20 hectares, un parking avion de 29 hectares et un parking d'une capacité de 5.000 véhicules.Cette procédure fait suite à la décision du gouvernement de ne plus financer d'une façon automatique sur le budget de l'Etat les infrastructures et équipements publics. Les maîtres d'ouvrages et agences d'exécutions devraient désormais solliciter leurs fonds propres, lorsqu'il s'agit d'une SPA ou d'un EPIC, ou le marché financier lorsqu'il s'agit d'une administration publique. Tahar Allache, Président directeur général de SGSIA, vient de déclarer que l'aéroport d'Alger sera doté d'une nouvelle aérogare, dont les travaux sont déjà entamés mais allant à un rythme non satisfaisant en raison de la nature du sol.Les travaux de la première phase - excavation et réseaux- sont achevés. La troisième aérogare est prévue à l'horizon 2032, avec une capacité de 10 millions de voyageurs par an. Sa capacité globale atteindra alors 16 millions de voyageurs/an. Le terminal 1, réservé aux lignes internationales, possède une capacité de traitement de 6 millions de passagers par an sur une surface globale de 8,2 hectares. Le terminal 2, qui s'étend sur une superficie de 2,9 hectares, est dédié aux lignes intérieures, supportant un traitement de 2,5 millions de passagers par an.Le terminal 3 est réservé aux vols charters Omra et Hadj, avec un million de passagers par an. Le plan de modernisation concerne le salon d'honneur, l'aérogare des vols intérieurs et des hadjis ainsi que la tour de contrôle. Le projet du nouvel aéroport d'Alger est situé à l'ouest de l'aérogare internationale actuelle, jouxtant la voie rapide de la Rocade Sud. Dans une déclaration faite au magazine El Djazaïr.com n°88 du mois de juillet dernier, Tahar Allache révèle que ce nouvel aéroport comprendra un bâtiment aérogare passagers de 20 hectares, un parking avion de 29 hectares et un parking d'une capacité de 5.000 véhicules.