70 % de taux global

Le directeur général de l'Algérienne des eaux (ADE), Smaïl Amirouche, a indiqué,hier que le taux global de remplissagedes barrages a atteint en ce mois demai 70 % à la faveur de considérables précipitationsenregistrées durant l'hiver et qui se sont prolongées jusqu'en ce milieudu printemps.Le directeur général de l'Algérienne des eaux (ADE), Smaïl Amirouche, a indiqué,hier que le taux global de remplissagedes barrages a atteint en ce mois demai 70 % à la faveur de considérables précipitationsenregistrées durant l'hiver et qui se sont prolongées jusqu'en ce milieudu printemps.
Et avec un tel taux de remplissage, l'été s'annonce moins stressant comparativement aux années précédentes durant lesquelles la pluviométrie était faible. Le DG de l'ADE, qui intervenait sur les ondes de la Radio nationale, a assuré que l'alimentation en eau potable des Algériens durant l'été prochain ne risque pas de connaître de grosses perturbations, mais au contraire des améliorations.
Malheureusement ce n'est pas toute la ressource en eau mobilisée qui parvient dans le robinet du citoyen, reconnait le même responsable qui estime le taux de fuite à 30 %, avec un coût d'un manque à gagner supplémentaire dans la distribution, auquel viennent s'ajouter les quantités d'eau volées par différentes formes et catégories d'abonnés sans en fournir de chiffres. 'autre contrainte de l'ADE pour améliorer la qualité de ses services est aussi le fardeau des créances impayées que Smaïl Amirouche a estimées à quelque 46 milliards de dinars auprès d'abonnés de différentes catégories. Sur ce point, le même responsable souligne que les créances se sont stabilisées ces dernières années grâce aux campagnes de sensibilisation appuyées de mesures obligeant les mauvais payeurs à s'acquitter de leurs factures.
Et avec un tel taux de remplissage, l'été s'annonce moins stressant comparativement aux années précédentes durant lesquelles la pluviométrie était faible. Le DG de l'ADE, qui intervenait sur les ondes de la Radio nationale, a assuré que l'alimentation en eau potable des Algériens durant l'été prochain ne risque pas de connaître de grosses perturbations, mais au contraire des améliorations.
Malheureusement ce n'est pas toute la ressource en eau mobilisée qui parvient dans le robinet du citoyen, reconnait le même responsable qui estime le taux de fuite à 30 %, avec un coût d'un manque à gagner supplémentaire dans la distribution, auquel viennent s'ajouter les quantités d'eau volées par différentes formes et catégories d'abonnés sans en fournir de chiffres. 'autre contrainte de l'ADE pour améliorer la qualité de ses services est aussi le fardeau des créances impayées que Smaïl Amirouche a estimées à quelque 46 milliards de dinars auprès d'abonnés de différentes catégories. Sur ce point, le même responsable souligne que les créances se sont stabilisées ces dernières années grâce aux campagnes de sensibilisation appuyées de mesures obligeant les mauvais payeurs à s'acquitter de leurs factures.