Malheureusement ce chiffre est loin de contenir le déficit enregistré, comparé au nombre d?habitants qui peuplent la zone éparse, lequel est estimé à 88 000 âmes. Dès lors, ce quota est jugé comme « timide » à l?exception des communes de Larabaa, Bordj-Bounaama et Sidi Slimane. Dans d?autres communes telles que Sidi Boutouchente et Bordj Emir Abdelkader, ces projets risquent de se heurter au problème du foncier. En effet, les habitants de ces localités n?occupent que des terrains non cadastrés et sans actes de propriété, chose qui ne leur offre pas le droit d?en bénéficier. Pour remédier à ce phénomène, le wali a dépêché une commission afin de régulariser ces terrains. D?autres contraintes sont liées entre autres au prix des matériaux de construction qui sont onéreux ainsi que l?incapacité du bénéficiaire à entamer au préalable la première phase de la construction, pour qu?il puisse encaisser la première tranche de l?aide. Ce genre de procédures a empêché les familles démunies d?accéder à ce type d?aide à la construction.
Posté Le : 27/02/2007
Posté par : sofiane
Ecrit par : Boudiaf El Hadj
Source : www.elwatan.com