56,47% des bacheliers affectés dans la filière de leur choix Inscriptions universitaires

Les autres candidats ont été affectés en fonction de leur moyenne, de la filière et des capacités d'accueil et d'encadrement au niveau des établissements de l'enseignement supérieur. 80,14% des lauréats ont obtenu un de leurs trois premiers choix. Seuls 7.271 bacheliers, soit 3,79% des effectifs, n'ont obtenu aucun choix des dix filières autorisées. Ils sont, de ce fait, orientés, suite au traitement électronique, vers une autre filière en fonction des trois critères précités. Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Rachid Haraoubia, l'a annoncé, hier, à l'Ecole nationale supérieure d'information après le lancement de l'opération d'affectation des nouveaux bacheliers. Une étape ouverte, hier, et devant prendre fin le 25 du mois en cours pour permettre aux affectés de se préparer à entamer la dernière étape de ce processus, au niveau de leurs établissements d'affectation respectifs et ce, du 27 au 31 juillet. Les candidats insatisfaits de leur affectation, ouvre droit au recours en ligne, avant demain. 2.500 lauréats ne se sont pas inscrits. Selon M. Haraoubia, il s'agit, dans la majorité des cas, soit de jeunes diplômés qui préfèrent poursuivre une formation supérieure dans un établissement autre que ceux relevant de son département ou de candidats préférant refaire leur année scolaire pour améliorer leur moyenne au bac et pouvoir, par la suite, opter pour la filière de leur choix. Le traitement électronique des fiches de v'ux a permis l'affectation de 8.623 nouveaux bacheliers dans les trois filières des sciences médicales. La moyenne minimale en médicine est fixée, cette année, à 14,70/20, elle l'est à 14,37/20 pour la spécialité chirurgie dentaire et 14,49/20 pour les études supérieures en pharmacie. Selon M. Haraoubia, à chaque spécialité sa moyenne minimale. A l'exemple des classes préparatoires intégrées qui accueilleront, dès la prochaine rentrée universitaire, 3.000 nouveaux étudiants et les écoles normales supérieures qui prendront en charge la formation de 3.500 futurs enseignants.