Algérie

5200 cas enregistrés en 2020



Le bilan de la DGSN a fait ressortir 5200 délits de cybercrime à travers le territoire national. Un chiffre qui est en évolution par rapport aux années précédentes.Le bilan de la DGSN a fait ressortir 5200 délits de cybercrime à travers le territoire national. Un chiffre qui est en évolution par rapport aux années précédentes.
Parmi les cas relevés dans ces délits figurent 2100 cas rangés comme délits commis par des auteurs touchant « à la division de l'unité nationale, des appels à la déstabilisation des institutions de la République et les attaques contre les personnalités de l'Etat ». Les autres cas assure la DGSN relève beaucoup de « diffamation et de publication de textes incitant à la violence » alors que « des plaintes ont porté pour intrusion dans la vie privée de personnes avec menace et chantage à leur encontre ». Mais le plus virulent dans cette histoire est « les attaques répétées à travers des sites postés en Algérie » et d'autres qui sont répertoriés à l'étranger.
Ces sites au nombre de 80 selon la déclaration du ministre de la Communication en août dernier tentent « d'atteindre l'unité nationale et les fondements de l'Etat à travers la désinformation et l'intox de leurs auteurs ». En plus de ces sites connus pour leur dangerosité, il y a une centaine d'autres qui utilisent des procédés frauduleux pour arnaquer les citoyens sur des opérations de vente de produits. Rappelons que la DGSN a déjà expédié 216 affaires à la justice l'année passée pour « fraude et usage de faux pour produits fictifs ». D'autres atteintes et non des moindres sont souvent relayées à traver les réseaux sociaux où les principaux délits sont liés aux menaces et chantages sur des personnes. La nouvelle législation a durci les peines sur « les fausses informations dont le but est de semer la discorde et la panique chez la population ». La DGSN signale que « les plaintes de citoyens dans ce genre de délits sont prises en charge entièrement par les nouveaux services de cybercriminalité » précisant que le code pénal prévoit dans ces récentes dispositions des sanctions et des peines de prison selon la nature et la gravité des délits. Il s'agit également d'inclure les cas sur « la diffusion et propagation de fausses informations portant atteinte à la santé publique » comme ce fut le cas relatif aux plaintes enregistrées sur l'épidémie du covid-19.
Parmi les cas relevés dans ces délits figurent 2100 cas rangés comme délits commis par des auteurs touchant « à la division de l'unité nationale, des appels à la déstabilisation des institutions de la République et les attaques contre les personnalités de l'Etat ». Les autres cas assure la DGSN relève beaucoup de « diffamation et de publication de textes incitant à la violence » alors que « des plaintes ont porté pour intrusion dans la vie privée de personnes avec menace et chantage à leur encontre ». Mais le plus virulent dans cette histoire est « les attaques répétées à travers des sites postés en Algérie » et d'autres qui sont répertoriés à l'étranger.
Ces sites au nombre de 80 selon la déclaration du ministre de la Communication en août dernier tentent « d'atteindre l'unité nationale et les fondements de l'Etat à travers la désinformation et l'intox de leurs auteurs ». En plus de ces sites connus pour leur dangerosité, il y a une centaine d'autres qui utilisent des procédés frauduleux pour arnaquer les citoyens sur des opérations de vente de produits. Rappelons que la DGSN a déjà expédié 216 affaires à la justice l'année passée pour « fraude et usage de faux pour produits fictifs ». D'autres atteintes et non des moindres sont souvent relayées à traver les réseaux sociaux où les principaux délits sont liés aux menaces et chantages sur des personnes. La nouvelle législation a durci les peines sur « les fausses informations dont le but est de semer la discorde et la panique chez la population ». La DGSN signale que « les plaintes de citoyens dans ce genre de délits sont prises en charge entièrement par les nouveaux services de cybercriminalité » précisant que le code pénal prévoit dans ces récentes dispositions des sanctions et des peines de prison selon la nature et la gravité des délits. Il s'agit également d'inclure les cas sur « la diffusion et propagation de fausses informations portant atteinte à la santé publique » comme ce fut le cas relatif aux plaintes enregistrées sur l'épidémie du covid-19.


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