45 rebelles tués au Darfour par l'armée soudanaise

Au moins 45 rebelles ont été tués samedi au Darfour (ouest du Soudan) par l'armée soudanaise, a annoncé dimanche une source militaire.
Des rebelles du Mouvement pour la justice et l'égalité (JEM) ont attaqué Fataha et "pillé le marché. Nos troupes ont répondu. Nous avons tué 45 rebelles et détruit 16 véhicules du JEM", a déclaré à la presse le porte-parole de l'armée, Sawarmi Khaled Saad.
"Après, ils se sont retirés vers l'Ouest et nous les pourchassons toujours", a-t-il ajouté, en précisant que quelques soldats avaient été blessés dans les heurts.
Le gouverneur de l'Etat du Nord-Darfour, Osmane Kibir, a confirmé à la télévision d'Etat que les rebelles avaient "pillé les magasins, attaqué des civils et volé de la nourriture et du carburant".
Pour sa part, le JEM a affirmé par la voix de son porte-parole Gibril Adam Bilal, que les rebelles avaient pris le contrôle d'un complexe de l'armée à l'est de la capitale de l'Etat El-Facher au Darfour, tuant un nombre non précisé de soldats et saisissant 16 véhicules militaires.
RDC
La police disperse des manifestants contre la crise sécuritaire
Des manifestants congolais en colère contre la gestion gouvernementale de la crise sécuritaire dans l'est du pays ont été dispersés samedi par les forces de sécurité.
Intitulée "Debout Congolais", cette marche à l'appel de l'opposition avait pour objectif de dire "non à la guerre et à la balkanisation de la République démocratique du Congo (RDC)", a déclaré un député national de l'opposition Clément Kanku, cité par des agences de presse.
Selon la même source, "Debout Congolais" est un cri de colère et de protestation contre un gouvernement "impuissant face au traitement de la guerre dans l'est du pays". Cette interdiction "est une violation de la Constitution".
Les manifestants qui voulaient accéder à l'endroit où devrait se tenir le rassemblement pour commencer la marche ont été dispersés sans heurts.
Au moins 45 rebelles ont été tués samedi au Darfour (ouest du Soudan) par l'armée soudanaise, a annoncé dimanche une source militaire.
Des rebelles du Mouvement pour la justice et l'égalité (JEM) ont attaqué Fataha et "pillé le marché. Nos troupes ont répondu. Nous avons tué 45 rebelles et détruit 16 véhicules du JEM", a déclaré à la presse le porte-parole de l'armée, Sawarmi Khaled Saad.
"Après, ils se sont retirés vers l'Ouest et nous les pourchassons toujours", a-t-il ajouté, en précisant que quelques soldats avaient été blessés dans les heurts.
Le gouverneur de l'Etat du Nord-Darfour, Osmane Kibir, a confirmé à la télévision d'Etat que les rebelles avaient "pillé les magasins, attaqué des civils et volé de la nourriture et du carburant".
Pour sa part, le JEM a affirmé par la voix de son porte-parole Gibril Adam Bilal, que les rebelles avaient pris le contrôle d'un complexe de l'armée à l'est de la capitale de l'Etat El-Facher au Darfour, tuant un nombre non précisé de soldats et saisissant 16 véhicules militaires.
RDC
La police disperse des manifestants contre la crise sécuritaire
Des manifestants congolais en colère contre la gestion gouvernementale de la crise sécuritaire dans l'est du pays ont été dispersés samedi par les forces de sécurité.
Intitulée "Debout Congolais", cette marche à l'appel de l'opposition avait pour objectif de dire "non à la guerre et à la balkanisation de la République démocratique du Congo (RDC)", a déclaré un député national de l'opposition Clément Kanku, cité par des agences de presse.
Selon la même source, "Debout Congolais" est un cri de colère et de protestation contre un gouvernement "impuissant face au traitement de la guerre dans l'est du pays". Cette interdiction "est une violation de la Constitution".
Les manifestants qui voulaient accéder à l'endroit où devrait se tenir le rassemblement pour commencer la marche ont été dispersés sans heurts.