Pas moins de 44 nouveaux marchés informels ont fait leur apparition en 2016 alors que 1.035 ont été éradiqués depuis le lancement de l'opération de lutte contre ces sites commerciaux illégaux en août 2012.Pas moins de 44 nouveaux marchés informels ont fait leur apparition en 2016 alors que 1.035 ont été éradiqués depuis le lancement de l'opération de lutte contre ces sites commerciaux illégaux en août 2012.C'est ce qu'indique un rapport du ministère du Commerce. Sur les 1.412 marchés informels qui existaient avant 2012, plus de 73 % ont été éradiqués en quatre ans, soit 1.035 sites illégaux, indique le même rapport qui souligne que parmi les 49.856 intervenants qui activaient dans ces marchés, 21.239 commerçants ont été réinsérés dans le circuit commercial légal, soit 42 %.Pour rappel, le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales avait lancé en août 2012, en collaboration avec le ministère du Commerce, une large opération d'éradication des marchés informels. En parallèle, de nombreuses mesures destinées à la résorption de ce commerce illégal ont été prises dont la réalisation de centaines de projets de marchés de proximité et de marchés couverts. Ainsi, une enveloppe de 12 milliards DA a été dédiée à la réalisation de 783 marchés de proximité relevant du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales.Jusqu'à fin 2016, 635 marchés de proximité ont été réceptionnés mais dont 242 marchés affectés mais non opérationnels et 163 non encore affectés alors que 148 unités restent à réaliser. Si des marchés sont restés non opérationnels, cela s'explique généralement par le refus d'intervenants de s'y installer du fait de l'exiguïté des locaux et de l'éloignement de ces marchés des zones urbaines et commerciales.Il s'agit aussi de la non affectation des locaux aux propriétaires par les APC, de l'abandon de locaux par les bénéficiaires, de non achèvement de l'aménagement extérieur (électricité et eau) et de l'inadéquation de la superficie du local avec certaines activités commerciales.Concernant le projet de réalisation de marchés couverts par le ministère du Commerce, il prévoyait initialement la réalisation de 291 de ce type de marchés pour une enveloppe financière de 10 milliards DA. "Ce projet a été mis en place pour, notamment, améliorer les circuits de distribution des produits de large consommation et rapprocher les citoyens des centres d'approvisionnement en ces produits", souligne le rapport.Mais suite "au gel ou à l'annulation de projets d'équipements publics, le nombre de projets de réalisation des marchés couverts, au niveau national, est passé de 291 à 80 marchés", lit-on dans le rapport. Jusqu'à fin 2016, le nombre de marchés couverts réceptionnés a été de 21 seulement : 11 à Mascara (dont 2 opérationnels), quatre (4) à Blida, trois (3) à Constantine, deux (2) à Nâama et un (1) à Bouira.C'est ce qu'indique un rapport du ministère du Commerce. Sur les 1.412 marchés informels qui existaient avant 2012, plus de 73 % ont été éradiqués en quatre ans, soit 1.035 sites illégaux, indique le même rapport qui souligne que parmi les 49.856 intervenants qui activaient dans ces marchés, 21.239 commerçants ont été réinsérés dans le circuit commercial légal, soit 42 %.Pour rappel, le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales avait lancé en août 2012, en collaboration avec le ministère du Commerce, une large opération d'éradication des marchés informels. En parallèle, de nombreuses mesures destinées à la résorption de ce commerce illégal ont été prises dont la réalisation de centaines de projets de marchés de proximité et de marchés couverts. Ainsi, une enveloppe de 12 milliards DA a été dédiée à la réalisation de 783 marchés de proximité relevant du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales.Jusqu'à fin 2016, 635 marchés de proximité ont été réceptionnés mais dont 242 marchés affectés mais non opérationnels et 163 non encore affectés alors que 148 unités restent à réaliser. Si des marchés sont restés non opérationnels, cela s'explique généralement par le refus d'intervenants de s'y installer du fait de l'exiguïté des locaux et de l'éloignement de ces marchés des zones urbaines et commerciales.Il s'agit aussi de la non affectation des locaux aux propriétaires par les APC, de l'abandon de locaux par les bénéficiaires, de non achèvement de l'aménagement extérieur (électricité et eau) et de l'inadéquation de la superficie du local avec certaines activités commerciales.Concernant le projet de réalisation de marchés couverts par le ministère du Commerce, il prévoyait initialement la réalisation de 291 de ce type de marchés pour une enveloppe financière de 10 milliards DA. "Ce projet a été mis en place pour, notamment, améliorer les circuits de distribution des produits de large consommation et rapprocher les citoyens des centres d'approvisionnement en ces produits", souligne le rapport.Mais suite "au gel ou à l'annulation de projets d'équipements publics, le nombre de projets de réalisation des marchés couverts, au niveau national, est passé de 291 à 80 marchés", lit-on dans le rapport. Jusqu'à fin 2016, le nombre de marchés couverts réceptionnés a été de 21 seulement : 11 à Mascara (dont 2 opérationnels), quatre (4) à Blida, trois (3) à Constantine, deux (2) à Nâama et un (1) à Bouira.
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Posté Le : 15/02/2017
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : RIAD EL HADI
Source : www.lemidi-dz.com