Un peu plus de 4000 magistrats seront dispatchés en ce mois d'octobre à travers les 1451 communes du pays dans le cadre de l'opération de la révision des listes électorales. Il faut dire que la majorité des juges s'estime marginalisée, notamment sur le plan salarial par rapport à d'autres pouvoirs.Sur le plan des conditions de travail, ils se disent lésés par le retard accusé dans le mouvement des mutations annuelles.Il s'agit aussi d'atermoiements dans la signature des décrets de nominations touchant plusieurs promotions.Par conséquent, la non-publication de ces décrets portant leur nomination dans le Journal officiel, les met dans une situation de «juge stagiaire».En fait, cette révision annuelle des listes électorales au titre de l'année 2014 entre dans le cadre des dispositions de la loi organique n°12-01 du 12 janvier 2012 relative au régime électoral.
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Posté Le : 28/09/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L'Expression
Source : www.lexpressiondz.com