40 navires de pêche algériens, d'une valeur moyenne d'un million d'euros, payés sur le plan de relance économique de la pêche à hauteur de 60% par l'Etat, 30 % par la BADR et 10% en apports personnels et confiés sur recommandation de responsables algériens au chantier naval turc de ANA Group, ont disparu en même temps que ce groupe.ANA Group a commencé à remplir son plan de charge et empoché l'argent en 2007 à sa représentation à Alger ouverte à l'hôtel El Aurassi, puis il s'est réfugié à Istanbul après le vent de contestation des professionnels qu'ont suscité ses tergiversations financières et ses retards. Aujourd'hui, ANA Group a simplement disparu de la scène en Turquie. Les armateurs qui attendent leur livraison ne retrouvent plus trace de ce groupe. Les bateaux seraient dans des chantiers navals sous-traitants dont il n'y a aussi aucune trace.
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Posté Le : 23/03/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : S. S.
Source : www.elwatan.com