L'établissement hospitalier public Mohamed Boudiaf du chef-lieu de Relizane a abrité une cérémonie des nouveaux-nés le 5 Juillet à l'occasion de la célébration du 62e anniversaire coïncidant avec les festivités du 5 Juillet, Fête de l'indépendance et de la jeunesse.A cet effet, pas moins de trente-neuf (39) nouveaux bébés nés le 5 juillet 2019 ont été honorés, hier, lors d'une cérémonie organisée à l'occasion de la célébration du 62e anniversaire coïncidant avec les festivités du 5 Juillet, Fête de l'indépendance et de la jeunesse. La plupart de ces heureux nourrissons, venus au monde, le jour où le peuple algérien fêtait l'indépendance du pays, portent des prénoms symbolisant cette fête, dérivés des mots «chahada», «nasr» et «houria» (liberté). Parmi ces prénoms Mansoura, Houria, Nacer, Nasreddine et Chahid qui symbolisent l'indépendance et la liberté. Les personnes concernées par cette cérémonie honorifique, qui a lieu pour la première fois dans leur ville, se sont dites «heureuses d'avoir la chance d'être nées le jour de la Fête de l'indépendance, un jour célébré par tous les algériens, une date mémorable pour toutes les personnes assoiffées de liberté.
Une date qui doit être gravée en lettres d'or et qui fut le fruit d'une lutte contre le colonisateur pour vivre dans une Algérie libre». En plus de cet hommage, les nourrissons nés le 5 juillet 1962 ont eu l'occasion de se connaître, a déclaré un moudjahid. La cérémonie organisée par la wilaya de Relizane a été marquée par la distribution de cadeaux à ces heureux enfants de l'Algérie en présence du célèbre groupe «espoirs» qui a partagé leur joie de fêter leur anniversaire et l'anniversaire de l'indépendance de l'Algérie. Ce fameux groupe de musique animera ce jeudi en soirée un gala artistique au Théâtre de verdure de Relizane.
Un jeune se noie dans une retenue d'eau à Djdioua
Quelle tragique fin, d'une aussi jeune vie, pour un adolescent d'à peine 18 ans qui a trouvé la mort par noyade dans l'après-midi de ce dimanche. Une mort inattendue, dans une retenue d'eau à «El-Guenadize», dans la daïra rurale de Djdioua. C'est ce qu'indique un communiqué transmis par la Protection civile de la wilaya de Relizane. En effet, il était un peu plus de 12h45, en cette chaude journée de ce dimanche, lorsque les éléments de l'unité secondaire d'intervention de la Protection civile ont été avisés de la disparition d'un jeune adolescent dans les eaux profondes et boueuses de cette retenue d'eau. Dépêchés immédiatement sur les lieux, une opération de recherches qui allait durer plus d'une heure d'efforts soutenus à l'issue desquels le corps sans vie, du jeune a pu être retrouvé, et retiré des eaux de cette dernière, puis évacué à la morgue de l'hôpital. Une enquête a été aussitôt ouverte.
Des locaux commerciaux non exploités
Vingt (20) locaux commerciaux sont abandonnés au niveau du faubourg «Douze», à une vingtaine de kilomètres du chef-lieu de Relizane entrant dans le cadre de l'opération «100 locaux pour chaque commune» initiée par l'État. Ces derniers ne sont pas exploités par leurs bénéficiaires, des jeunes de la région. Selon nos sources, ils ne sont toujours pas fonctionnels et n'ont pas été opérationnels dans le cadre de la lutte contre le chômage dans cette région considérée comme étant une cité- dortoir. Ici, le chômage lamine les jeunes.
Pas de zone d'activité ou de dépôt. Il existe une seule exploitation agricole qui emploie des centaines de jeunes. Les autres lots octroyés aux investisseurs sont détournés de leur vocation. Les cages d'escaliers donnant sur les locaux du 1er étage sont devenues un dépotoir, où des poubelles et autres détritus y sont jetés puis incinérés, alors que les portes de certains d'entre elles sont défoncées. Un jeune chômeur nous dira avoir déposé un dossier pour bénéficier d'un local depuis plusieurs années, sans suite. Il accuse également les élus locaux de ne rien faire pour lui octroyer un local alors qu'ils demeurent toujours non exploités, et ce depuis leur réalisation.
«Et pourtant, ce ne sont pas les chômeurs et les cas sociaux, notamment les handicapés, qui manquent», s'indigne notre interlocuteur, qui dénonce le manque de vision à long terme chez les élus. Il faut savoir également que les locaux de la cité «Douze» sont isolés. Ce n'est que maintenant que la région commence à connaître un boom démographique grâce aux programmes de logements sociaux, dont certains sont attribués et d'autres en cours de réalisation.
En plus de leur fermeture, ces locaux enlaidissent le décor de la ville.
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Posté Le : 08/07/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : N Malik
Source : www.lnr-dz.com