Lors de la dernière soirée du Festival international de Timgad dans sa 35e édition, le pire a été évité et de justesse. Si la défaillance dans l'organisation (vente de billets), la prise en charge et l'orientation des spectateurs, les horaires de passage des artistes n'étaient pas réglés comme cela se devait de l'être, ce ne sont pourtant pas là les raisons de la débâcle. La sourde oreille, l'arrogance, le mépris et la décision unilatérale des organisateurs, en l'occurrence l'ONCI (Office national de la culture et de l'information), sont bel et bien la cause première décriée par la famille de la presse (qui en a payé le prix), les habitués du festival, mais aussi et surtout par les exclus de ce même rendez-vous.Nom
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Posté Le : 07/07/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Rubrique Radar
Source : www.liberte-algerie.com