Algérie

300 djihadistes algériens tués en Syrie Natifs d'Alger, Boumerdès, El Oued...



300 djihadistes algériens tués en Syrie Natifs d'Alger, Boumerdès, El Oued...
Le nombre des djihadistes algériens tués en Syrie ne cesse d'augmenter. Après l'annonce de la mort de 273 Algériens, il y a quelques jours, par l'agence de statistiques américaine Penta Polis voilà que ce chiffre a été revu à la hausse avec l'élimination de 23 autres par l'armée syrienne. Selon cette armée, il y aurait près de 1.000 Algériens qui combattent en Syrie aux côtés d'Al Qaïda en Syrie.Le nombre des djihadistes algériens tués en Syrie ne cesse d'augmenter. Après l'annonce de la mort de 273 Algériens, il y a quelques jours, par l'agence de statistiques américaine Penta Polis voilà que ce chiffre a été revu à la hausse avec l'élimination de 23 autres par l'armée syrienne. Selon cette armée, il y aurait près de 1.000 Algériens qui combattent en Syrie aux côtés d'Al Qaïda en Syrie.
Les autorités syriennes ont livré, récemment, des noms de plusieurs Algériens tués dans des combats avec l'armée. Ils sont au nombre de 300 jusqu'à présent, toutefois le nombre va sûrement augmenter vu la forte présence d'Algériens en Syrie.
Les autorités syriennes ont présenté à l'ambassade d'Algérie en Syrie une liste de certains noms d'Algériens tués au cours de combats et qui sont identifiés. Ces noms ont été vérifiés par les autorités algériennes afin d'appeler leurs familles. Selon des sources sécuritaires, des dizaines de familles algériennes ont reçu des appels téléphoniques à partir de la Syrie leur annonçant la mort de leurs enfants.
Ces familles sont originaires d'Alger, de Boumerdès et d'El Oued. Les Algériens tués étaient âgés, souvent, d'une trentaine d'années. Ils sont passé par les frontières algéro-libyennes pour rejoindre l'Egypte avant de rallier la Turquie pour ensuite arriver en Syrie.
Il s'agit là de véritables réseaux de passeurs très structurés et jouissant de plusieurs filières en activités dans plusieurs pays arabes. En effet, des recrues algériennes sont acheminées illégalement vers le sud de la Tunisie, plus précisément à Djandouba, avant de rallier la Turquie où elles reçoivent un entraînement sur l'utilisation des armes.
Les liens tissés avec un autre réseau en Turquie permettent de transférer les mercenaires algériens vers le Liban avant de rejoindre la Syrie. La Commission d'enquête internationale indépendante des Nations unies en Syrie avait confirmé, en septembre 2012, "la présence croissante d'éléments étrangers, y compris des combattants djihadistes" en Syrie.
Le président de la CDE, Paulo Pinheiro, avait déclaré devant la 21e session du Conseil de l'Onu pour les droits de l'Homme (CDH) que « certains combattants étrangers rejoignaient les forces antigouvernementales, tandis que d'autres fondaient leurs propres groupes pour opérer de manière indépendante».
Selon toujours un rapport publié, fin juillet dernier, par l'agence Penta Polis, 273 Algériens auraient été tués dans les combats en Syrie. Ces statistiques, établies sur la base d'actes de décès de combattants étrangers morts en Syrie délivrés dans leurs pays d'origine, montrent que ces djihadistes sont de 49 nationalités. Les combattants tunisiens viennent en tête avec 1.902 morts, suivis des Libyens (1.807), des Irakiens (1.432) et des Palestiniens (1.002).
Les autorités syriennes ont livré, récemment, des noms de plusieurs Algériens tués dans des combats avec l'armée. Ils sont au nombre de 300 jusqu'à présent, toutefois le nombre va sûrement augmenter vu la forte présence d'Algériens en Syrie.
Les autorités syriennes ont présenté à l'ambassade d'Algérie en Syrie une liste de certains noms d'Algériens tués au cours de combats et qui sont identifiés. Ces noms ont été vérifiés par les autorités algériennes afin d'appeler leurs familles. Selon des sources sécuritaires, des dizaines de familles algériennes ont reçu des appels téléphoniques à partir de la Syrie leur annonçant la mort de leurs enfants.
Ces familles sont originaires d'Alger, de Boumerdès et d'El Oued. Les Algériens tués étaient âgés, souvent, d'une trentaine d'années. Ils sont passé par les frontières algéro-libyennes pour rejoindre l'Egypte avant de rallier la Turquie pour ensuite arriver en Syrie.
Il s'agit là de véritables réseaux de passeurs très structurés et jouissant de plusieurs filières en activités dans plusieurs pays arabes. En effet, des recrues algériennes sont acheminées illégalement vers le sud de la Tunisie, plus précisément à Djandouba, avant de rallier la Turquie où elles reçoivent un entraînement sur l'utilisation des armes.
Les liens tissés avec un autre réseau en Turquie permettent de transférer les mercenaires algériens vers le Liban avant de rejoindre la Syrie. La Commission d'enquête internationale indépendante des Nations unies en Syrie avait confirmé, en septembre 2012, "la présence croissante d'éléments étrangers, y compris des combattants djihadistes" en Syrie.
Le président de la CDE, Paulo Pinheiro, avait déclaré devant la 21e session du Conseil de l'Onu pour les droits de l'Homme (CDH) que « certains combattants étrangers rejoignaient les forces antigouvernementales, tandis que d'autres fondaient leurs propres groupes pour opérer de manière indépendante».
Selon toujours un rapport publié, fin juillet dernier, par l'agence Penta Polis, 273 Algériens auraient été tués dans les combats en Syrie. Ces statistiques, établies sur la base d'actes de décès de combattants étrangers morts en Syrie délivrés dans leurs pays d'origine, montrent que ces djihadistes sont de 49 nationalités. Les combattants tunisiens viennent en tête avec 1.902 morts, suivis des Libyens (1.807), des Irakiens (1.432) et des Palestiniens (1.002).


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