Algérie

27 ministres aux commandes



27 ministres aux commandes
La composante du gouvernement post élections législatives du 4 mai dernier est désormais connue. L'exécutif se compose ainsi de 27 ministres dont certains, au nombre de 12 plus exactement, font leur entrée au gouvernement pour la première fois, alors que 13 autres ont été reconduits.La composante du gouvernement post élections législatives du 4 mai dernier est désormais connue. L'exécutif se compose ainsi de 27 ministres dont certains, au nombre de 12 plus exactement, font leur entrée au gouvernement pour la première fois, alors que 13 autres ont été reconduits.Deux ministres font par ailleurs leur retour au gouvernement. Ainsi donc, 24 heures après avoir désigné Abdelmadjid Tebboune au poste de premier ministre, mercredi passé, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a procédé avant-hier jeudi à la nomination des membres du gouvernement avec, à la clé, quelques surprises.Ainsi, Ramtane Lammara n'est plus le chef de la diplomatie algérienne. C'est désormais Abdelkader Messahal qui a été désigné ministre des Affaires étrangères. Messahal, qui a dirigé depuis le mois de mai 2014 la diplomatie nationale avec Lamamra, puisqu' il était en charge du monde arabe, du Maghreb et de l'Afrique, est désormais le seul maitre à bord. Et si Lamamra a fait les frais de cette nouvelle composante, ce n'est pas le cas de Ahmed Gaid Salah, qui a été maintenu à son poste de vice ministre de la Defense, chef d'Etat major de l'ANP.Il en est aussi de deux autres ministères de souveraineté, à savoir l'Intérieur et la Justice. En effet, Nouredine Bedoui et Tayeb Louh ont été reconduits respectivement à la tète du ministère de l'Intérieur et de la Justice.Par contre, le ministère des Finances a changé de mains car c'est Abderahmane Raouia qui en est le nouveau détenteur en remplacement de Hadji Baba Ammi dont le départ était plus que prévisible. Nouredine Bouterfa qui était jusque là ministre de l'Energie a lui aussi perdu sa place, puisqu'il a été remplacé par Mustapha Guitouni qui occupait le poste de PDG de la Sonelgaz.Il en est de même pour Hamid Grine remplacé au ministère de la Communication par Djamal Kaouane qui était le P-dg de l'ANEP. D'autres ministres ont eu plus de chance, puisqu'ils ont été maintenus à leurs postes. Il en est ainsi de Tayeb Zitouni, ministre des Moudjahidine, Mohamed Aissa, ministre des Affaires religieuses, Nouria Benghabrit, ministre de l'Education nationale, Tahar Hadjar,ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Mohamed Mebarki, ministre de la formation et de l'enseignement professionnels, Houda Imen Feraoun Ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique et El Hadi Ould Ali, ministre de la Jeunesse et des Sports .Ghania Eddalia, rescapée elle aussi du précédent gouvernement ou elle occupait la fonction de ministre chargé des Relations avec le parlement, a été nommée ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition féminine. Et c'est au revenant Tahar Khaoua qu'échoit le ministère des Relations avec le parlement.Un poste qu'il a déjà occupé par le passé lors de son premier passage au gouvernement. Hocine Necib, nouveau ministre des Ressources en eau, est lui aussi un revenant. Il retrouve ainsi un ministère qui lui est familier. Par ailleurs, pas moins de 4 walis font leur entrée au gouvernement. Il s'agit de Abdelkader Bouazgui qui est le nouveau ministre de l'Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, de Youcef Chorfa , ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville ;Ahmed Saci qui est le nouveau ministre du Commerce et Abdelghani Zaalane, ministre des Travaux publics et des Transports. Mahdjoub Beddaa, lui, a hérité du ministre de l'Industrie et des Mines alors que le Professeur Mokhtar Hazbellaoui a été nommé ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Notons que le parti du FLN s'est taillé la part du lion, puisqu'il est représenté par pas moins de huit ministres alors que le RND n'en dispose que de trois. Le MPA et le TAJ font leur entrée avec un ministère pour chaque parti.Deux ministres font par ailleurs leur retour au gouvernement. Ainsi donc, 24 heures après avoir désigné Abdelmadjid Tebboune au poste de premier ministre, mercredi passé, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a procédé avant-hier jeudi à la nomination des membres du gouvernement avec, à la clé, quelques surprises.Ainsi, Ramtane Lammara n'est plus le chef de la diplomatie algérienne. C'est désormais Abdelkader Messahal qui a été désigné ministre des Affaires étrangères. Messahal, qui a dirigé depuis le mois de mai 2014 la diplomatie nationale avec Lamamra, puisqu' il était en charge du monde arabe, du Maghreb et de l'Afrique, est désormais le seul maitre à bord. Et si Lamamra a fait les frais de cette nouvelle composante, ce n'est pas le cas de Ahmed Gaid Salah, qui a été maintenu à son poste de vice ministre de la Defense, chef d'Etat major de l'ANP.Il en est aussi de deux autres ministères de souveraineté, à savoir l'Intérieur et la Justice. En effet, Nouredine Bedoui et Tayeb Louh ont été reconduits respectivement à la tète du ministère de l'Intérieur et de la Justice.Par contre, le ministère des Finances a changé de mains car c'est Abderahmane Raouia qui en est le nouveau détenteur en remplacement de Hadji Baba Ammi dont le départ était plus que prévisible. Nouredine Bouterfa qui était jusque là ministre de l'Energie a lui aussi perdu sa place, puisqu'il a été remplacé par Mustapha Guitouni qui occupait le poste de PDG de la Sonelgaz.Il en est de même pour Hamid Grine remplacé au ministère de la Communication par Djamal Kaouane qui était le P-dg de l'ANEP. D'autres ministres ont eu plus de chance, puisqu'ils ont été maintenus à leurs postes. Il en est ainsi de Tayeb Zitouni, ministre des Moudjahidine, Mohamed Aissa, ministre des Affaires religieuses, Nouria Benghabrit, ministre de l'Education nationale, Tahar Hadjar,ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Mohamed Mebarki, ministre de la formation et de l'enseignement professionnels, Houda Imen Feraoun Ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique et El Hadi Ould Ali, ministre de la Jeunesse et des Sports .Ghania Eddalia, rescapée elle aussi du précédent gouvernement ou elle occupait la fonction de ministre chargé des Relations avec le parlement, a été nommée ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition féminine. Et c'est au revenant Tahar Khaoua qu'échoit le ministère des Relations avec le parlement.Un poste qu'il a déjà occupé par le passé lors de son premier passage au gouvernement. Hocine Necib, nouveau ministre des Ressources en eau, est lui aussi un revenant. Il retrouve ainsi un ministère qui lui est familier. Par ailleurs, pas moins de 4 walis font leur entrée au gouvernement. Il s'agit de Abdelkader Bouazgui qui est le nouveau ministre de l'Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, de Youcef Chorfa , ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville ;Ahmed Saci qui est le nouveau ministre du Commerce et Abdelghani Zaalane, ministre des Travaux publics et des Transports. Mahdjoub Beddaa, lui, a hérité du ministre de l'Industrie et des Mines alors que le Professeur Mokhtar Hazbellaoui a été nommé ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Notons que le parti du FLN s'est taillé la part du lion, puisqu'il est représenté par pas moins de huit ministres alors que le RND n'en dispose que de trois. Le MPA et le TAJ font leur entrée avec un ministère pour chaque parti.


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