Algérie

24 heures



Tixeraïne : Chaussé dégradée provoque la circulationDepuis la mise en place d'un réseau d'assainissement en faveur des habitants de la route de Sebala, les automobilistes se retrouvent aujourd'hui piégés par la dégradation de la chaussée causée par les travaux. En effet, depuis l'hôpital de Tixeraine, la chaussée est totalement détruite. Les conducteurs ainsi que les riverains parlent de crevasses qui causent des dégâts matériels importants aux véhicules qui empruntent cette artère devenue axe principal.
Les fuites d'eau potable également rendent continuellement la chaussée glissante et de nombreux accidents se produisent. Après l'hôpital, le bitume s'est totalement affaissé causant des ralentissements monstrueux à longueur de temps. «La commune n'a jamais levé le petit doigt si ce n'est pour défraichir la végétation», déclare le jeune Massi. Aussi et avec le nombre croissant de la population, les habitants de la région dénoncent un plan urbain archaïque et un suivi inexistant de la part des autorités compétentes.  R. L.
L'est de la capitale : Voies impraticables à cause des mares d'eau
Des habitants de cités sises aux alentours de Qahouet Chargui et Bateau-cassé, à l'Est d'Alger, se plaignent des mares d'eau qui se forment à chaque averse. La chaussée devient impraticable et par endroit impossible à emprunter par les piétons. Ces voies, a-t-on constaté, étaient tellement mal faites, que l'eau de pluie y stagne pendant plusieurs jours, faute de réseaux d'évacuation. «On dirait, une piscine !» s'exclame un résident. Cette situation, bien que préjudiciable pour les habitants, est appelée à perdurer puisque rien n'est encore fait pour que les eaux pluviales soient convenablement évacuées. Des habitants ont affirmé que le problème ne se limite pas qu'aux cités résidentielles. L'eau déborde en hiver, causant l'arrêt de circulation du tramway. D. G.
Vente de poisson à El Harrach : Les commerçants bafouent les règles d'hygiène
A El Harrach, les vendeurs de poisson préfèrent s'installer sur le trottoir mitoyen au marché couvert. En l'absence d'une autorité devant les obliger à vendre leurs marchandises à l'intérieur du marché, ces derniers transgressent toutes les règles, y compris celles ayants trait à l'hygiène. Pour laver les poissons qu'ils mettent en évidence dans des étals sales et avariés, ils utilisent, pour les plus enclins à l'hygiène, quelques litres d'eau contenue dans des jerricans. Une bassine pour le nettoyage des poissons leur sert de plonge pour toute la journée. Si bien que cette eau perd sa couleur et devient noirâtre. Cette situation n'a pas pour autant inquiété les autorités locales qui n'interviennent jamais pour obliger ces commerçants à se conformer aux règles d'hygiène et de propreté. K. S.
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