Algérie

24 heures


Commerce informel : Des étals encombrants à Qahouet CherguiA Qahouet Chergui, dans la commune de Bordj El Bahri, les vendeurs de vêtements envahissent les moindres espaces. Les étals de ces marchands informels occupent non seulement les trottoirs, mais débordent sur la chaussée, gênant de surcroît la circulation routière, qui devient congestionnée. Les commerçants commencent par installer leurs étals aux premières heures de la matinée et ne les enlèvent qu'en fin de soirée. Les clients affluent par milliers vers cet endroit, qui n'est autre qu'une artère bordée de trottoirs. Les automobilistes qui viennent de la cité Cosider, ou encore du quartier La terre familiale, peinent à se frayer un chemin parmi les marchandises exposées sur l'espace réservé en principe aux piétons, qui trouvent également des difficultés à marcher sur les trottoirs. Les étals de vêtements occupent tout l'espace réservé aux passants, si bien que ces derniers débordent sur la chaussée. Transformer un bout de trottoir en un marché pour les effets vestimentaires est une entreprise qui n'est guère appropriée. «Où sont les responsables locaux qui ont permis cette mascarade. En tout cas, ce marché installé à même les venelles de la ville est une preuve qui confirme l'incapacité des autorités locales à organiser l'espace urbain», confie un habitant de la localité.

Cité Faïzi (Bordj El Kiffan) Pollution aux abords de l'Oued
Les habitants de la cité Faïzi, dans la commune de Bordj El Kiffan, vivent au rythme des nuisances qui émanent de oued El Hamiz. Les dernières maisons de la cité ont été construites sur les rives de ce cours d'eau hautement pollué. «L'oued doit être curé au moins une fois par an, et ce, afin de limiter les émanations d'odeurs et la prolifération des insectes nuisibles», confie un habitant de la cité. En ce début de saison hivernale et malgré l'absence de chaleur, la cité est littéralement assiégée par les moustiques. «Le soir venu, nos maisons grouillent de moustiques qui envahissent le moindre recoin. Les services de l'APC n'ont pas effectué d'opération de fumigation depuis des lustres», ajoute-t-il. Outre ce problème, les habitants de la cité déplorent l'état de dégradation de leur cité qui est constituée d'une dizaine d'immeubles dont la construction remonte à l'époque coloniale.
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