Fuites d'eau à BouzaréahDes fuites d'eau au centre-ville de Bouzaréah ne suscitent aucunement de réaction de la part des pouvoirs publics en vue de les réparer, tant ces dernières durent maintenant depuis plusieurs semaines. Cette situation s'avère pénalisante pour les habitants du quartier et autres passants qui empruntent ces ruelles parsemées de mares d'eau et de boue. C'est ainsi qu'en plein mois d'août, les habitants pataugent dans la gadoue, alors qu'une simple intervention de la part des agents de la SEAAL pourrait, nous assure-t-on sur place, en quelques heures seulement régler ce problème récurrent. Aussi, il y a lieu de constater que ces fuites d'eau se trouvent paradoxalement à proximité du siège de l'APC de Bouzaréah, chose qui devrait en principe inciter les responsables locaux à plus d'entrain.Rouïba : Une route praticable, malgré les travauxLes automobilistes qui empruntent le CW 111, qui relie la commune de Rouiba à celle de Aïn Taya, ou encore ceux qui viennent du chemin communal reliant Dergana à Rouiba, ne sont aucunement avertis sur la non ouverture du tronçon de route de la RN 24 qui mène de l'intersection faisant jonction entre les deux axes routiers vers la localité de Boudouaou marine. Induits en erreur, plusieurs automobilistes empruntent cette voie rapide qui n'est pas encore totalement achevée au risque de provoquer des accidents, d'autant plus que ce tronçon de route manque d'éclairage et aucune signalisation n'a été encore installée. Des obstacles indiquent que la route n'est pas encore carrossable, mais des automobilistes imprudents les ont enlevés une première fois et s'obstinent toujours à le faire à chaque fois qu'on les réinstalle. Tant que les travaux n'ont pas été complètement terminés, il convient de refermer cette route pour éviter d'éventuels accidents. L'incivisme et l'inconscience de certains automobilistes sont derrière cette situation qui pourrait à la longue causer des drames.Qahouet Chergui (Bordj el bahri) ; Congestion routière à l'est d'AlgerA Qahouet Chergui (Bordj El Bahri) à l'est de la capitale, les embouteillages sont devenus au fil du temps la caractéristique principale de cet endroit qui ne semble jamais « désemplir ». La situation s'est accentuée cependant au deuxième jour du mois de jeûne. A partir de 13h, le grand sens giratoire que forme l'endroit a connu une indescriptible congestion en termes de circulation routière et qui a duré plusieurs heures. A partir de Qahouet Chergui, jusqu'à Bordj El Kiffan, le constat est pratiquement le même, puisque à chaque intersection, des files de voitures se forment sur plusieurs centaines de mètres. Les marchands informels qui stationnent aux abords de la route, notamment au quartier dénommé Bateau cassé, sont pour beaucoup dans cette situation. Les automobilistes s'arrêtent ainsi à tort et à travers pour faire leurs emplettes et provoquent une grande perturbation dans la fluidité de la circulation.
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Posté Le : 24/08/2009
Posté par : sofiane
Source : www.elwatan.com