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Zéralda : La station de bus ferméeLa station de bus de Zéralda a été fermée depuis plus d'une année. Un conflit entre l'ex-concessionnaire et les autorités locales sur le paiement des factures d'eau et d'électricité serait derrière cette brusque et longue fermeture. Des citoyens disent être grandement pénalisés par cette situation. « Pour prendre un sandwich ou faire ses besoins, on est contraint de traverser la route et chercher une cafétéria disposant de toilettes », se plaint un usager, tout en relevant la grande utilité de cette infrastructure pour les milliers de voyageurs qui la fréquentent quotidiennement. Bien que la circulation des bus n'ait pas été affectée, les autres services, tels que les restaurants, cafétérias, boutiques et taxiphones demeurent le grand absent dans cette station desservant plusieurs communes et wilayas. Pis encore, depuis plusieurs mois, l'autre côté de l'Agence a été transformé en urinoir à ciel ouvert, d'où se dégagent des odeurs nauséabondes. Certes, des agents de contrôle y sont présents durant toute la journée afin de veiller sur la bonne organisation des départs et arrivées des bus, n'empêche que cela ne suffit pas pour assurer des déplacements dans de bonnes conditions aux usagers.Logements sociaux à Bordj El Bahri : La liste pas encore affichéeLa liste définitive des quarante bénéficiaires de logements sociaux, attribués aux citoyens de la commune de Bordj El Bahri, n'a pas été affichée au niveau du siège de l'APC. « Cette liste a subi des modifications », nous ont déclaré des citoyens de la commune qui figuraient initialement sur la première liste et qui auraient été écartés par d'autres bénéficiaires. Les plaignants n'ont paradoxalement pas eu droit à la moindre explication de la part des responsables locaux. « La réglementation se trouve largement bafouée ; la liste doit être affichée au niveau du siège de l'APC. » « Nous avons pris connaissance de la nouvelle de notre soustraction de la liste des bénéficiaires par le biais des employés de l'OPGI de Dar El Beïda à qui l'on a transmis une copie, ce qui est en soit une démarche tortueuse. Nous avons le droit d'être informé officiellement et par écrit », assurent nos interlocuteurs  >