Algérie

24 Heures



La Casbah : La rue Larbi Ben M'hidi à l'abandonAvec le festival panafricain, le Panaf, des espaces et des rues devaient être pris en charge. La Casbah est concernée en premier lieu mais les habitants ne voient rien venir. Les rues, très fréquentées, sont jonchées de détritus. Dernièrement, au n°44 de la rue de la Lyre (actuellement rue Bouzrina), des travaux ont été entrepris, mais la remise en état n'a pas été faite par l'entrepreneur. Les gravats sont toujours sur place obstruant les arcades. La journée, cette rue est encombrée par les nombreux marchands d'étoffes et de toutes sortes d'effets vestimentaires destinés à la gent féminine. La décision de déloger ces vendeurs informels a été prise par les responsables locaux mais vite abandonnée. Les commerçants ont réoccupé les lieux avec fracas. Les étrangers auront à découvrir sur place le génie des responsables.Rue Tanger (Alger-Centre) : Des pans d'immeubles menaçantsLes immeubles de la rue Chaïb Ahmed (ex-rue Tanger) menacent les occupants et les nombreux passants. Plusieurs immeubles, touchés de plein fouet, ont été évacués par leurs occupants. Mais quelques commerçants indélicats ont engagé des travaux et y ont fait installer leurs employés. La conséquence est connue de tous : des jeunes, venus de l'intérieur du pays, ont perdu la vie. Mais les autorités communales et les services de la wilaya déléguée ne semblent pas vouloir s'en soucier. D'autres préoccupations semblent intéresser ces responsables qui laissent se dégrader le cadre urbain.Alger-centre : Le siège de l'APC en travauxLe siège de l'APC d'Alger-Centre connaît des travaux à n'en plus finir. Il n'est pas rare de voir, en effet, des ouvriers mener quelques travaux au dernier étage de l'infrastructure, située à la place Emir Abdelkader. Ces travaux ont été entamés durant le dernier mandat mais n'ont touché, semble-t-il, qu'une partie de l'édifice. L'on a souvent affirmé, du côté de l'APC, que le projet d'un nouveau siège est prévu. Mais les administrés nombreux à se bousculer dans l'actuelle infrastucture n'y croient pas trop.  >   


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)