238 agences de voyage retenues

Après les enquêtes menées par l'Office national du Hadj et de la Omra, il se trouve que certaines agences ne travailleraient que durant le Ramadhan, disparaissant du circuit le reste de l'année.Après les enquêtes menées par l'Office national du Hadj et de la Omra, il se trouve que certaines agences ne travailleraient que durant le Ramadhan, disparaissant du circuit le reste de l'année.L'Office national du Hadj et de la Omra a retenu 238 agences de voyages et de tourisme sur un total de 342 agences pour prendre en charge les hadjis lors de la prochaine saison de pèlerinage, tandis que les 44 agences restantes ont ainsi payé les frais de leurs pratiques douteuses. Ces dernières ont été écartées de l'organisation de la saison du Hadj 2016 après un travail d'investigation effectué par ladite institution.Le manque de professionnalisme et la course de beaucoup d'agences de voyages derrière le gain facile est, certes, la principale cause de ces agissements contestables qui portent un lourd préjudice à l'image de l'Algérie à l'étranger. Mais la répétition des mêmes erreurs dans l'octroi d'agréments sans le respect de critères déterminés ont aggravé la situation. Cette année, les autorités se sont, semble-t-il, résolues à mettre un terme à cette anarchie, et ont décidé de sanctionner certaines agences privées.En effet, après les enquêtes menées, il se trouve que les agences exclues ne travailleraient que durant la période du mois sacré du Ramadhan, la plus fructueuse, et disparaissent du circuit le reste de l'année.En outre ces agences étaient en contradiction avec l'article 9 du cahier des charges qui stipule que ces agences devraient entamer l'organisation de la saison de la Omra dès l'obtention de l'accréditation et non attendre la période d'avant le Ramadhan, ce qui a conduit à ces mesures d'exclusions fermes. De plus un engagement écrit est nécessaire entre l'agence organisatrice et le futur pèlerin qui doitlui être remis, définissant toutes les prestations à fournir.La participation à l'organisation du Hadj et de la Omra, source d'importants bénéfices, est, à chaque fois, offerte à des agences qui n'ont aucune notion de professionnalisme et aucun respect de leurs engagements vis-à-vis des lois de la République, cela sans parler de ceux de leurs clients.L'absence de cadre juridique stipulant de lourdes peines à l'encontre des responsables qui ne respecteraient pas leurs engagements favorise les dérapages. Un dossier sur lequel la tutelle devrait se pencher sérieusement pour remettre de l'ordre. En attendant cette mesure sera-telle retenue pour les prochaines années ' Sera-t-elle le début d'une opération visant à remettre de l'ordre dans un secteur longtemps abandonnée entre les mains d'affairistes sans scrupules 'L'Office national du Hadj et de la Omra a retenu 238 agences de voyages et de tourisme sur un total de 342 agences pour prendre en charge les hadjis lors de la prochaine saison de pèlerinage, tandis que les 44 agences restantes ont ainsi payé les frais de leurs pratiques douteuses. Ces dernières ont été écartées de l'organisation de la saison du Hadj 2016 après un travail d'investigation effectué par ladite institution.Le manque de professionnalisme et la course de beaucoup d'agences de voyages derrière le gain facile est, certes, la principale cause de ces agissements contestables qui portent un lourd préjudice à l'image de l'Algérie à l'étranger. Mais la répétition des mêmes erreurs dans l'octroi d'agréments sans le respect de critères déterminés ont aggravé la situation. Cette année, les autorités se sont, semble-t-il, résolues à mettre un terme à cette anarchie, et ont décidé de sanctionner certaines agences privées.En effet, après les enquêtes menées, il se trouve que les agences exclues ne travailleraient que durant la période du mois sacré du Ramadhan, la plus fructueuse, et disparaissent du circuit le reste de l'année.En outre ces agences étaient en contradiction avec l'article 9 du cahier des charges qui stipule que ces agences devraient entamer l'organisation de la saison de la Omra dès l'obtention de l'accréditation et non attendre la période d'avant le Ramadhan, ce qui a conduit à ces mesures d'exclusions fermes. De plus un engagement écrit est nécessaire entre l'agence organisatrice et le futur pèlerin qui doitlui être remis, définissant toutes les prestations à fournir.La participation à l'organisation du Hadj et de la Omra, source d'importants bénéfices, est, à chaque fois, offerte à des agences qui n'ont aucune notion de professionnalisme et aucun respect de leurs engagements vis-à-vis des lois de la République, cela sans parler de ceux de leurs clients.L'absence de cadre juridique stipulant de lourdes peines à l'encontre des responsables qui ne respecteraient pas leurs engagements favorise les dérapages. Un dossier sur lequel la tutelle devrait se pencher sérieusement pour remettre de l'ordre. En attendant cette mesure sera-telle retenue pour les prochaines années ' Sera-t-elle le début d'une opération visant à remettre de l'ordre dans un secteur longtemps abandonnée entre les mains d'affairistes sans scrupules '