200 médicaments indisponibles sur le marché

"Plus de 200 molécules essentiels pour les malades sont actuellement indisponibles" dans les officines et les établissementshospitaliers algérien, a affirméavant-hier, le président du Syndicatnational des praticiens de la santépublique (SNPSP), Lyès Merabet.Parmi ces médicaments, M."Plus de 200 molécules essentiels pour les malades sont actuellement indisponibles" dans les officines et les établissementshospitaliers algérien, a affirméavant-hier, le président du Syndicatnational des praticiens de la santépublique (SNPSP), Lyès Merabet.Parmi ces médicaments, M.
Merabet cite ceux utilisés pour le traitement des malades atteints de cancer, de diabète, de l'hypertension et d'asthme. Les maladesqui souffrent de troubles psychiatriquessont aussi concernés par la pénurie."Il suffit de faire un tour au niveau de nosofficines d'Alger pour constater de visuqu'il y a un manque flagrant de médicaments,d'ailleurs c'est un problème récurrent mais rien n'a été fait pour y parer", a-t-il déclaré.Plusieurs médicaments sont introuvablesaussi dans les établissements hospitaliers, tels que la "Ventoline",
"Salbutamol", un traitement efficace contre l'asthme, a-t-il certifié. Pour y remédier, les praticiens de la santé se contentent d'utiliser ou de prescrire d'autres médicaments à leurs patients. "La situation devient inquiétante et je pense que la pénurie n'a aucun rapport avec le problème de distribution tel que avancé par le ministère de tutelle", a-t-il soulevé. "Les pouvoirs publics sont contraints, eu égard au contexte de crise actuelle, à baisser la facture de l'importation des médicaments en hausse cette année, mais au même temps assurer la couverture nationale en la matière :
Une équation difficile à résoudre surtout face aux +lobbies qui menace le secteur+", a-t-il soutenu. La facture globale des médicaments pourrait se chiffrer à 96 milliards de dinars en 2018, contre 88 milliards en 2017, avait annoncé récemment le directeur général de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH), MohamedAyad. Pour rappel, les produits pharmaceutiques ne sont plus concernés, depuisuelques semaines, par les restrictions à l'importation.
Merabet cite ceux utilisés pour le traitement des malades atteints de cancer, de diabète, de l'hypertension et d'asthme. Les maladesqui souffrent de troubles psychiatriquessont aussi concernés par la pénurie."Il suffit de faire un tour au niveau de nosofficines d'Alger pour constater de visuqu'il y a un manque flagrant de médicaments,d'ailleurs c'est un problème récurrent mais rien n'a été fait pour y parer", a-t-il déclaré.Plusieurs médicaments sont introuvablesaussi dans les établissements hospitaliers, tels que la "Ventoline",
"Salbutamol", un traitement efficace contre l'asthme, a-t-il certifié. Pour y remédier, les praticiens de la santé se contentent d'utiliser ou de prescrire d'autres médicaments à leurs patients. "La situation devient inquiétante et je pense que la pénurie n'a aucun rapport avec le problème de distribution tel que avancé par le ministère de tutelle", a-t-il soulevé. "Les pouvoirs publics sont contraints, eu égard au contexte de crise actuelle, à baisser la facture de l'importation des médicaments en hausse cette année, mais au même temps assurer la couverture nationale en la matière :
Une équation difficile à résoudre surtout face aux +lobbies qui menace le secteur+", a-t-il soutenu. La facture globale des médicaments pourrait se chiffrer à 96 milliards de dinars en 2018, contre 88 milliards en 2017, avait annoncé récemment le directeur général de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH), MohamedAyad. Pour rappel, les produits pharmaceutiques ne sont plus concernés, depuisuelques semaines, par les restrictions à l'importation.