L'abandon scolaire représente un problème fondamental pour toutes les sociétés, car il compromet l'épanouissement individuel, dans la mesure où l'avenir de chacun dépend de son niveau d'éducation.L'abandon scolaire représente un problème fondamental pour toutes les sociétés, car il compromet l'épanouissement individuel, dans la mesure où l'avenir de chacun dépend de son niveau d'éducation.
On constate que dans les sociétés avancées, l'abandon scolaire commence au secondaire, alors qu'au niveau de la rive sud de la Méditerranée et le Moyen Orient, il débute au premier cycle. Cette donnée vient d'être confirmée par le ministre de l'Education nationale, Mohamed Ouadjout, lors d'une séance plénière au Conseil de la nation, relevant que "le taux de déperdition scolaire a atteint 2 % dans le cycle d'enseignement moyen et 0,11 % dans le cycle primaire durant les années scolaires 2019-2020 et 2020- 2021".
Même si ce taux de déperdition scolaire en Algérie paraît "faible", cet abandon précoce des études remet en question les politiques de démocratisation mises en avant par l'Etat, selon les spécialistes. Dans l'effort d'y porter remède, le premier souci de ces derniers fut d'abord celui de cerner les causes de l'abandon scolaire. D'une région à une autre, les résultats démontrent que l'abandon scolaire est certes dû à plusieurs facteurs d'importance inégale parmi lesquels la situation familiale occupe une place de premier plan. Le ministre abonde dans le même sens lors de son intervention, expliquant que "les études dont dispose son département font ressortir plusieurs causes, notamment le mariage précoce des filles, la séparation des parents ou les maladies chroniques". En vue de réduire les taux de déperdition scolaire des enfants de moins de 16 ans,
M. Ouadjout a souligné "la nécessité d'adopter une approche sociale impliquant tous les intervenants pour contenir ce phénomène", expliquant que "le ministère envisage de prendre une série de mesures dont la révision des modalités d'évaluation pédagogique et des examens de rattrapage". Par ailleurs, le ministre a fait état d'un taux de scolarisation de 98,7 % des enfants en première année du cycle primaire durant l'année scolaire 2019-2020, tandis que le taux de scolarisation chez les enfants de 6 à 15 ans a atteint 97,36 % au cours de la même année scolaire.
On constate que dans les sociétés avancées, l'abandon scolaire commence au secondaire, alors qu'au niveau de la rive sud de la Méditerranée et le Moyen Orient, il débute au premier cycle. Cette donnée vient d'être confirmée par le ministre de l'Education nationale, Mohamed Ouadjout, lors d'une séance plénière au Conseil de la nation, relevant que "le taux de déperdition scolaire a atteint 2 % dans le cycle d'enseignement moyen et 0,11 % dans le cycle primaire durant les années scolaires 2019-2020 et 2020- 2021".
Même si ce taux de déperdition scolaire en Algérie paraît "faible", cet abandon précoce des études remet en question les politiques de démocratisation mises en avant par l'Etat, selon les spécialistes. Dans l'effort d'y porter remède, le premier souci de ces derniers fut d'abord celui de cerner les causes de l'abandon scolaire. D'une région à une autre, les résultats démontrent que l'abandon scolaire est certes dû à plusieurs facteurs d'importance inégale parmi lesquels la situation familiale occupe une place de premier plan. Le ministre abonde dans le même sens lors de son intervention, expliquant que "les études dont dispose son département font ressortir plusieurs causes, notamment le mariage précoce des filles, la séparation des parents ou les maladies chroniques". En vue de réduire les taux de déperdition scolaire des enfants de moins de 16 ans,
M. Ouadjout a souligné "la nécessité d'adopter une approche sociale impliquant tous les intervenants pour contenir ce phénomène", expliquant que "le ministère envisage de prendre une série de mesures dont la révision des modalités d'évaluation pédagogique et des examens de rattrapage". Par ailleurs, le ministre a fait état d'un taux de scolarisation de 98,7 % des enfants en première année du cycle primaire durant l'année scolaire 2019-2020, tandis que le taux de scolarisation chez les enfants de 6 à 15 ans a atteint 97,36 % au cours de la même année scolaire.
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Posté Le : 25/04/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com