Algérie

19% des consommateurs souffrent d'effets secondaires



19% des consommateurs souffrent d'effets secondaires
Près de 19 % des consommateurs de boissons énergisantes souffrent d'effets secondaires liés à ces produits, a indiqué le chef de service de toxicologie au centre régional d'Oran le professeur Hassiba Rezk-Kallah.Près de 19 % des consommateurs de boissons énergisantes souffrent d'effets secondaires liés à ces produits, a indiqué le chef de service de toxicologie au centre régional d'Oran le professeur Hassiba Rezk-Kallah.Lors de la 7e journée de toxicologie, organisée par l'Association algérienne et le Centre national de toxicologie, la spécialiste a souligné que 61% des jeunes Algériens consommaient des boissons énergisantes, rappelant que 19% d'entre eux étaient victimes d'effets secondaires.L'intervenante a indiqué que la société algérienne s'est transformée de consommateur à producteur de boissons énergisantes (50%), mettant en garde contre la prolifération de ce phénomène parmi les jeunes. Elle a également relevé un vide juridique en matière de commercialisation de ces boissons. Selon la spécialiste, les différentes études effectuées par le Centre régional de toxicologie d'Oran sur certaines maladies professionnelles et le tabagisme démontrent, a-t-elle indiqué, que le quart (1/4) des travailleurs souffrent des effets du tabagisme passif en milieu professionnel et que que 47 % d'entre eux ignoraient les lois relatives à la lutte contre ce fléau.Par ailleurs, l'intervenante a mis l'accent sur la nécessité de promulguer des lois rigoureuses en matière de contrôle des produits cosmétiques qui ont envahi le marché national ces dernières années, soulignant l'importance de réaliser des études nationales sur leurs effets secondaires. Pour sa part, la présidente de l'Association algérienne de toxicologie le professeur Berkahoum Alamir a axé son intervention sur les dangers de la pollution de l'environnement et des produits chimiques contenus dans certains produits alimentaires sur la santé du consommateur.La spécialiste a mis l'accent sur la nécessaire coordination entre les différents secteurs pour doter le Centre national de toxicologie d'Alger des informations relatives aux cas d'intensification pour la réalisation d'études susceptibles de contribuer à la protection de la santé. Il est également question de prendre les décisions idoines concernant les produits importés et locaux qui constituent un danger pour la santé du citoyen. La présidente de l'association a préconisé la sensibilisation des consommateurs pour qu'il prennent connaissance des informations mentionnées sur l'emballage des produits sur la marché national.Lors de la 7e journée de toxicologie, organisée par l'Association algérienne et le Centre national de toxicologie, la spécialiste a souligné que 61% des jeunes Algériens consommaient des boissons énergisantes, rappelant que 19% d'entre eux étaient victimes d'effets secondaires.L'intervenante a indiqué que la société algérienne s'est transformée de consommateur à producteur de boissons énergisantes (50%), mettant en garde contre la prolifération de ce phénomène parmi les jeunes. Elle a également relevé un vide juridique en matière de commercialisation de ces boissons. Selon la spécialiste, les différentes études effectuées par le Centre régional de toxicologie d'Oran sur certaines maladies professionnelles et le tabagisme démontrent, a-t-elle indiqué, que le quart (1/4) des travailleurs souffrent des effets du tabagisme passif en milieu professionnel et que que 47 % d'entre eux ignoraient les lois relatives à la lutte contre ce fléau.Par ailleurs, l'intervenante a mis l'accent sur la nécessité de promulguer des lois rigoureuses en matière de contrôle des produits cosmétiques qui ont envahi le marché national ces dernières années, soulignant l'importance de réaliser des études nationales sur leurs effets secondaires. Pour sa part, la présidente de l'Association algérienne de toxicologie le professeur Berkahoum Alamir a axé son intervention sur les dangers de la pollution de l'environnement et des produits chimiques contenus dans certains produits alimentaires sur la santé du consommateur.La spécialiste a mis l'accent sur la nécessaire coordination entre les différents secteurs pour doter le Centre national de toxicologie d'Alger des informations relatives aux cas d'intensification pour la réalisation d'études susceptibles de contribuer à la protection de la santé. Il est également question de prendre les décisions idoines concernant les produits importés et locaux qui constituent un danger pour la santé du citoyen. La présidente de l'association a préconisé la sensibilisation des consommateurs pour qu'il prennent connaissance des informations mentionnées sur l'emballage des produits sur la marché national.




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