Algérie

180.000 policiers risquent ne pas être payés demain Conséquences du débrayage des postiers


La grève, observée dans les bureaux de poste du pays, risque de pénaliser, 180.000 policiers qui vont se présenter pour retirer leurs salaires, dès demain.
Ce sont donc 180.000 policiers, qui seront otages de cette situation. Les policiers, qui devaient, dès demain, se présenter pour percevoir leurs salaires, risquent de ne pas pouvoir le faire, malgré le service minimum mis en place suite à cette grève illimitée, nous apprend des sources proches de la DGSN. Tout comme les policiers, des millions d'Algériens ont été pénalisés par cette grève entamée, pour rappel, le 31 décembre passé. Ces derniers, au nombre de 30.000 travailleurs revendiquent, entre autres, le départ du directeur général d'Algérie Poste de même que celui des membres du syndicat d'entreprise et dénoncent certaines décisions prises lundi passé par la tutelle, concernant l'octroi d'une prime de 30.000 dinars. Ils exigent en outre l'application de la convention collective de 2003 et l'application d'un plan de carrière professionnelle. Face à une situation qui ne donne pas l'air de se décanter, le titulaires de comptes CCP sont dans l'impasse et ne savent plus à quel saint se vouer d'autant que la grève a gagné l'ensemble des postes du pays. Aussi bien à Alger que dans les autres wilayas du pays, les bureaux de poste fonctionnaient au ralenti quand ils ne sont pas totalement paralysés. Certes, un service minimum est observé, mais vu la cadence de ce service il est quasi-impossible que les clients arrivent à avoir leur argent dans les prochains jours. Quant à la carte magnétique, seuls en sont titulaires quelques 4 millions d'usagers sur les 15 millions de clients de la poste, il est d'ailleurs difficile d'accéder aux distributeurs automatiques pour retirer leur argent. Les jours qui viennent risquent de connaître d'autres rebondissements attendu la volonté des travailleurs d'aller jusqu'au bout de leurs revendications.
La grève, observée dans les bureaux de poste du pays, risque de pénaliser, 180.000 policiers qui vont se présenter pour retirer leurs salaires, dès demain.
Ce sont donc 180.000 policiers, qui seront otages de cette situation. Les policiers, qui devaient, dès demain, se présenter pour percevoir leurs salaires, risquent de ne pas pouvoir le faire, malgré le service minimum mis en place suite à cette grève illimitée, nous apprend des sources proches de la DGSN. Tout comme les policiers, des millions d'Algériens ont été pénalisés par cette grève entamée, pour rappel, le 31 décembre passé. Ces derniers, au nombre de 30.000 travailleurs revendiquent, entre autres, le départ du directeur général d'Algérie Poste de même que celui des membres du syndicat d'entreprise et dénoncent certaines décisions prises lundi passé par la tutelle, concernant l'octroi d'une prime de 30.000 dinars. Ils exigent en outre l'application de la convention collective de 2003 et l'application d'un plan de carrière professionnelle. Face à une situation qui ne donne pas l'air de se décanter, le titulaires de comptes CCP sont dans l'impasse et ne savent plus à quel saint se vouer d'autant que la grève a gagné l'ensemble des postes du pays. Aussi bien à Alger que dans les autres wilayas du pays, les bureaux de poste fonctionnaient au ralenti quand ils ne sont pas totalement paralysés. Certes, un service minimum est observé, mais vu la cadence de ce service il est quasi-impossible que les clients arrivent à avoir leur argent dans les prochains jours. Quant à la carte magnétique, seuls en sont titulaires quelques 4 millions d'usagers sur les 15 millions de clients de la poste, il est d'ailleurs difficile d'accéder aux distributeurs automatiques pour retirer leur argent. Les jours qui viennent risquent de connaître d'autres rebondissements attendu la volonté des travailleurs d'aller jusqu'au bout de leurs revendications.
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