Algérie

18 morts dans l'attaque d'un autocar



Dix-huit personnes ont été tuées mardi lorsque l'autocar qui les transportait a été attaqué par des inconnus armés dans les montagnes du nord du Pakistan. Dix-huit personnes ont été tuées mardi lorsque l'autocar qui les transportait a été attaqué par des inconnus armés dans les montagnes du nord du Pakistan, rapporte le journal l'Express. Le véhicule venait de Rawalpindi, la ville de garnison où se trouve le quartier général de l'armée pakistanaise, et se rendait à Gilgit, une ville du nord située sur les contreforts de l'Himalaya, selon la même source.«Le bus a été attaqué par des hommes armés qui s'étaient cachés des deux côtés de la route. Les premières informations font état de 18 morts et 8 blessés», a précisé le chef de la police locale, Mohammad Ilyas. L'attaque a eu lieu près d'Harban, dans le district du Kohistan, à quelque 200 km au nord d'Islamabad, une zone montagneuse où les rebelles talibans, dont les attaques ont ensanglanté le pays ces dernières années, ne sont habituellement pas actifs selon le même journal.
Des huissiers de justice ont évacué tôt mardi le camp installé il y a quatre mois par des manifestants anticapitalistes sur le parvis de la cathédrale St Paul à Londres.
Les «indignés» n'ont pas opposé de résistance lorsque les huissiers de justice ont commencé à démonter peu après minuit la cinquantaine de tentes encore dressées. Plusieurs dizaines de policiers ont été déployés sur place.
Plusieurs dizaines de militants, inspirés du mouvement «Occupy Wall Street» à New York, campaient depuis le 15 octobre devant l'édifice religieux, haut lieu touristique de la capitale anglaise. Des procédures judiciaires avaient été lancées pour faire évacuer les manifestants. Mi-janvier, un juge avait ordonné le démantèlement du campement pour des raisons d'hygiène et de sécurité et afin de ne pas gêner l'accès à la cathédrale. Les militants ont la possibilité de se tourner vers la Cour européenne de justice pour contester cette décision.
Soudan
150 soldats tués dans des combats à la frontière
Les rebelles soudanais ont annoncé mardi avoir tué 150 soldats de l'armée régulière lors de combats le long de la frontière disputée avec le Soudan du Sud dimanche dernier.
L'armée soudanaise a démenti ce bilan et affirmé avoir tué «un nombre très important» de rebelles lors de ces combats que Khartoum accuse le Soudan du Sud d'avoir organisés, menaçant Juba d'une riposte. Ces morts sont survenues dimanche dernier, lors d'une «attaque surprise» contre la base militaire de Jau, a déclaré Arnu Ngutulu Lodi, porte-parole du SPLM-N, la branche Nord du Mouvement populaire de libération du Soudan (SPLM), les ex-rebelles sudistes. Les rebelles ont recensé les cadavres au sol, a-t-il ajouté à l'issue de cette attaque au cours de laquelle ils ont pris trois chars et des centaines d'armes et de véhicules.
Agence
Dix-huit personnes ont été tuées mardi lorsque l'autocar qui les transportait a été attaqué par des inconnus armés dans les montagnes du nord du Pakistan. Dix-huit personnes ont été tuées mardi lorsque l'autocar qui les transportait a été attaqué par des inconnus armés dans les montagnes du nord du Pakistan, rapporte le journal l'Express. Le véhicule venait de Rawalpindi, la ville de garnison où se trouve le quartier général de l'armée pakistanaise, et se rendait à Gilgit, une ville du nord située sur les contreforts de l'Himalaya, selon la même source.
«Le bus a été attaqué par des hommes armés qui s'étaient cachés des deux côtés de la route. Les premières informations font état de 18 morts et 8 blessés», a précisé le chef de la police locale, Mohammad Ilyas. L'attaque a eu lieu près d'Harban, dans le district du Kohistan, à quelque 200 km au nord d'Islamabad, une zone montagneuse où les rebelles talibans, dont les attaques ont ensanglanté le pays ces dernières années, ne sont habituellement pas actifs selon le même journal.
Des huissiers de justice ont évacué tôt mardi le camp installé il y a quatre mois par des manifestants anticapitalistes sur le parvis de la cathédrale St Paul à Londres.
Les «indignés» n'ont pas opposé de résistance lorsque les huissiers de justice ont commencé à démonter peu après minuit la cinquantaine de tentes encore dressées. Plusieurs dizaines de policiers ont été déployés sur place.
Plusieurs dizaines de militants, inspirés du mouvement «Occupy Wall Street» à New York, campaient depuis le 15 octobre devant l'édifice religieux, haut lieu touristique de la capitale anglaise. Des procédures judiciaires avaient été lancées pour faire évacuer les manifestants. Mi-janvier, un juge avait ordonné le démantèlement du campement pour des raisons d'hygiène et de sécurité et afin de ne pas gêner l'accès à la cathédrale. Les militants ont la possibilité de se tourner vers la Cour européenne de justice pour contester cette décision.
Soudan
150 soldats tués dans des combats à la frontière
Les rebelles soudanais ont annoncé mardi avoir tué 150 soldats de l'armée régulière lors de combats le long de la frontière disputée avec le Soudan du Sud dimanche dernier.
L'armée soudanaise a démenti ce bilan et affirmé avoir tué «un nombre très important» de rebelles lors de ces combats que Khartoum accuse le Soudan du Sud d'avoir organisés, menaçant Juba d'une riposte. Ces morts sont survenues dimanche dernier, lors d'une «attaque surprise» contre la base militaire de Jau, a déclaré Arnu Ngutulu Lodi, porte-parole du SPLM-N, la branche Nord du Mouvement populaire de libération du Soudan (SPLM), les ex-rebelles sudistes. Les rebelles ont recensé les cadavres au sol, a-t-il ajouté à l'issue de cette attaque au cours de laquelle ils ont pris trois chars et des centaines d'armes et de véhicules.
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