Algérie

162 PME sur 5.000 sont exportatrices industrie agroalimentaire en algérie



162 PME sur 5.000 sont exportatrices                                    industrie agroalimentaire en algérie
Considérée comme étant l'un des plus importants segments de l'industrie algérienne, la branche des industries agro-alimentaires (IAA) ne compte que 5.000 entreprises dont seulement 162 exportatrices, a déploré lundi à Alger un expert.
"En dépit des potentialités existantes et des efforts de l'Etat pour lancer l'industrie agroalimentaire, l'Algérie ne compte que 5.000 entreprises activant dans cette branche dont 162 exportatrices", a indiqué Ali Aris, consultant du programme de renforcement des capacités commerciales des pays arabes (EnAct) à l'occasion d'un forum régional sur les opportunités commerciales dans le secteur agroalimentaire.
Selon ce spécialiste, les entreprises spécialisées dans le secteur agroalimentaire sont essentiellement de type familial, ne maîtrisent pas le processus d'exportation et ignorent les exigences réglementaires.
"Seules cinq entreprises exportent régulièrement", a-t-il souligné, faisant remarquer que les produits exportés hors hydrocarbures sont en majorité des produits de terroir comme l'huile d'olive et les dattes ainsi que le sucre raffiné.
La branche des industries agroalimentaires, qui emploie plus de 140.000 travailleurs, soit 40% de la population active industrielle exerçant dans plus de 17.100 entreprises, représente 50 à 55% du Produit intérieur brut (PIB) industriel et 40 à 45% de la valeur ajoutée.
Le secteur recèle un potentiel d'exportation pouvant dépasser les deux milliards de dollars/an, selon le ministère de l'Industrie, de la PME et de la promotion de l'investissement.
Le faible niveau des exportations hors hydrocarbures a incité les pouvoirs publics à tracer une démarche nationale en matière de promotion du développement économique, qui vise la valorisation des ressources naturelles du pays, la substitution à l'importation et la diversification de la production nationale ainsi que la promotion des exportations, rappelle-t-on. La rencontre qui a regroupé les représentants des secteurs public et privé des pays membres du programme EnAct (Algérie, Egypte, Jordanie, Maroc et Tunisie), a permis de débattre des défis liés à la promotion du commerce dans cette filière notamment au plan régional
Considérée comme étant l'un des plus importants segments de l'industrie algérienne, la branche des industries agro-alimentaires (IAA) ne compte que 5.000 entreprises dont seulement 162 exportatrices, a déploré lundi à Alger un expert.
"En dépit des potentialités existantes et des efforts de l'Etat pour lancer l'industrie agroalimentaire, l'Algérie ne compte que 5.000 entreprises activant dans cette branche dont 162 exportatrices", a indiqué Ali Aris, consultant du programme de renforcement des capacités commerciales des pays arabes (EnAct) à l'occasion d'un forum régional sur les opportunités commerciales dans le secteur agroalimentaire.
Selon ce spécialiste, les entreprises spécialisées dans le secteur agroalimentaire sont essentiellement de type familial, ne maîtrisent pas le processus d'exportation et ignorent les exigences réglementaires.
"Seules cinq entreprises exportent régulièrement", a-t-il souligné, faisant remarquer que les produits exportés hors hydrocarbures sont en majorité des produits de terroir comme l'huile d'olive et les dattes ainsi que le sucre raffiné.
La branche des industries agroalimentaires, qui emploie plus de 140.000 travailleurs, soit 40% de la population active industrielle exerçant dans plus de 17.100 entreprises, représente 50 à 55% du Produit intérieur brut (PIB) industriel et 40 à 45% de la valeur ajoutée.
Le secteur recèle un potentiel d'exportation pouvant dépasser les deux milliards de dollars/an, selon le ministère de l'Industrie, de la PME et de la promotion de l'investissement.
Le faible niveau des exportations hors hydrocarbures a incité les pouvoirs publics à tracer une démarche nationale en matière de promotion du développement économique, qui vise la valorisation des ressources naturelles du pays, la substitution à l'importation et la diversification de la production nationale ainsi que la promotion des exportations, rappelle-t-on. La rencontre qui a regroupé les représentants des secteurs public et privé des pays membres du programme EnAct (Algérie, Egypte, Jordanie, Maroc et Tunisie), a permis de débattre des défis liés à la promotion du commerce dans cette filière notamment au plan régional


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