15 véhicules/h en 2014, 75.000/an en 2020 construits en Algérie Partenariat Renault - snvi

"Les prévisions en matière de production de véhicules particuliers de la société Renault Algérie production se réaliseront suivant deux phases distinctes, à savoir 15 véhicules par heure d'ici 2014 et 75 000 voitures à l'horizon 2019-2020. Le partenariat entre Renault et la SNVI commencera par une phase basée sur des activités de montage compétence, tandis que la deuxième phase prévoit l'instauration de la compétence en intégrant de nouveaux métiers, tels que la tôlerie et la peinture », a notamment déclaré, hier à l'hôtel Sofitel, la représentante de la firme de construction automobile française Renault, Mme Galbain, au cours d'une conférence de presse.La société Renault Algérie Production dont le partage de capitaux consacre 49 % pour la SNVI, 34 % pour Renault et 17 % pour le Fonds national d'investissement (FNI), est l'investisseur principal, et non seulement Renault ou la SNVI. « Il s'agit, donc, d'une société commune en partenariat industriel automobile » a affirmé, pour sa part, Jaguère, représentant de Renault, ajoutant que "le processus de réalisation et de création de cette nouvelle société s'achèvera dans les tous prochains jours". « Etant premier sur le marché algérien considéré comme le sixième marché mondial pour Renault, notre entreprise veut consolider sa position sur ce marché où nous avons de fortes relations avec nos clients », a t-il ajouté, précisant que l'essentiel consiste à produire avec la qualité et suivant des normes tout en respectant les clients. Il dira que le contrat de partenariat prévoit le transfert de technologie et la formation des techniciens algériens dans la filière automobile en complétant notre réseau de fournisseurs pour une meilleure compétence industrielle. « Nous avons discuté une feuille de route avec le ministre de l'Industrie, Rahmani, et nous voulons créer un tissu industriel automobile fort en Algérie en fabriquant d'abord la remplaçante de la voiture Symbol révélée au salon international automobile d'Istanbul », a-t-il dit. Celui-ci souligne que la première tranche de montage et de logistique permettra la sortie de la première voiture en novembre 2014, car la société Renault Algérie Production est prête à fonctionner et elle est, donc, opérationnelle. Aussi, la 2e tranche verra l'usine d'Oran totalement intégrée avec les métiers de peinture et de tôlerie.
Concernant le montant de l'investissement de l'usine d'Oran, Jaguère et Delimi, le directeur de la SGP Equipag, affirment que « le montant financier n'a jamais été avancé et rendu public, nous n'avons pas prononcé le chiffre de 1 milliard d'euros. Il s'agit d'un montant de 50 millions d'euros pour la première phase de montage et d'apprentissage plus des centaines de milliers d'euros par la suite. « Le montant de 50 millions d'euros n'est pas une finalité en soi », affirme Delimi, alors que le boss de la SNVI insiste sur « le transfert de technologie et de savoir-faire ».
"Les prévisions en matière de production de véhicules particuliers de la société Renault Algérie production se réaliseront suivant deux phases distinctes, à savoir 15 véhicules par heure d'ici 2014 et 75 000 voitures à l'horizon 2019-2020. Le partenariat entre Renault et la SNVI commencera par une phase basée sur des activités de montage compétence, tandis que la deuxième phase prévoit l'instauration de la compétence en intégrant de nouveaux métiers, tels que la tôlerie et la peinture », a notamment déclaré, hier à l'hôtel Sofitel, la représentante de la firme de construction automobile française Renault, Mme Galbain, au cours d'une conférence de presse.La société Renault Algérie Production dont le partage de capitaux consacre 49 % pour la SNVI, 34 % pour Renault et 17 % pour le Fonds national d'investissement (FNI), est l'investisseur principal, et non seulement Renault ou la SNVI. « Il s'agit, donc, d'une société commune en partenariat industriel automobile » a affirmé, pour sa part, Jaguère, représentant de Renault, ajoutant que "le processus de réalisation et de création de cette nouvelle société s'achèvera dans les tous prochains jours". « Etant premier sur le marché algérien considéré comme le sixième marché mondial pour Renault, notre entreprise veut consolider sa position sur ce marché où nous avons de fortes relations avec nos clients », a t-il ajouté, précisant que l'essentiel consiste à produire avec la qualité et suivant des normes tout en respectant les clients. Il dira que le contrat de partenariat prévoit le transfert de technologie et la formation des techniciens algériens dans la filière automobile en complétant notre réseau de fournisseurs pour une meilleure compétence industrielle. « Nous avons discuté une feuille de route avec le ministre de l'Industrie, Rahmani, et nous voulons créer un tissu industriel automobile fort en Algérie en fabriquant d'abord la remplaçante de la voiture Symbol révélée au salon international automobile d'Istanbul », a-t-il dit. Celui-ci souligne que la première tranche de montage et de logistique permettra la sortie de la première voiture en novembre 2014, car la société Renault Algérie Production est prête à fonctionner et elle est, donc, opérationnelle. Aussi, la 2e tranche verra l'usine d'Oran totalement intégrée avec les métiers de peinture et de tôlerie.
Concernant le montant de l'investissement de l'usine d'Oran, Jaguère et Delimi, le directeur de la SGP Equipag, affirment que « le montant financier n'a jamais été avancé et rendu public, nous n'avons pas prononcé le chiffre de 1 milliard d'euros. Il s'agit d'un montant de 50 millions d'euros pour la première phase de montage et d'apprentissage plus des centaines de milliers d'euros par la suite. « Le montant de 50 millions d'euros n'est pas une finalité en soi », affirme Delimi, alors que le boss de la SNVI insiste sur « le transfert de technologie et de savoir-faire ».