La charte nationale pour la paix et la réconciliationnationale a douze ans déjà. Ily a 12 ans, en effet, les Algériens votaient pour lapaix, en disant "oui" pour LaCharte pour la paix et la réconciliation nationale.La charte nationale pour la paix et la réconciliationnationale a douze ans déjà. Ily a 12 ans, en effet, les Algériens votaient pour lapaix, en disant "oui" pour LaCharte pour la paix et la réconciliation nationale.
C'était, pour rappel, le 29 septembre 2005. A travers l'urne les Algériens ont dit oui au projet que leur a proposé le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le chef de l'Etat espérait, ainsi, ouvrir une nouvelle ère pour permettre aux Algériens de transcender les affres de la tragedie nationale qui a frappé, durant presque une décennie, le pays causant d'incommensurables dommages.
Des dizaines de milliers de morts ont été enregistrés durant la décennie noire. Des milliers de terroristes, qui ont fait acte de repentance en quittant les maquis, ont bénéficié, à la faveur du pardon, des dispositions de cette charte. Plus d'une décennie plus tard, les dispositions de cette loi restent toujours en vigueur. L'appel à la repentance a été réitéré cette semaine par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, expliquant que le gouvernement s'engage devant le
"Parlement à poursuivre la politique de la réconciliation nationale. Pour rappel à la veille de la célébration du 43e anniversaire de l'Indépendance, le chef de l'Etat annonce aux Algériens qu'ils seront bientôt invités à se prononcer sur la Charte de la paix et la réconciliationnationale." Le 14 août 2005, le peuple estappelé par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à se prononcer,dans le cadre d'un référendum, sur le projet de ladite Charte.
Et c'est le 29 septembre 2005 que le bulletin bleu, le oui, l'emporte à plus de 97 %. Le projet prend alors la force d'une loi en février 2006, après adoption par le Parlement.
Le texte prenden charge plusieurs aspects du drame vécupar le peuple algérien.Selon Me Farouk Ksentini, président dela Commission nationale consultative dela promotion et la protection des droits del'Homme (2011-2017), "dix ans de terrorismeont failli venir à bout de l'Etatalgérien qui a miraculeusement tenu (...) Le bilan de cette charte est essentiellementpositif".
Cette semaine, le chef dugouvernement a relancé l'appel à renonceraux actes terroristes précisant à leursauteurs qu'ils ont le choix de se rendre outomber sous la coupe de la justice.En dix ans, de 2005 à 2015, quelque15.000 repentis ont bénéficié des disposition de la Charte.
C'était, pour rappel, le 29 septembre 2005. A travers l'urne les Algériens ont dit oui au projet que leur a proposé le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le chef de l'Etat espérait, ainsi, ouvrir une nouvelle ère pour permettre aux Algériens de transcender les affres de la tragedie nationale qui a frappé, durant presque une décennie, le pays causant d'incommensurables dommages.
Des dizaines de milliers de morts ont été enregistrés durant la décennie noire. Des milliers de terroristes, qui ont fait acte de repentance en quittant les maquis, ont bénéficié, à la faveur du pardon, des dispositions de cette charte. Plus d'une décennie plus tard, les dispositions de cette loi restent toujours en vigueur. L'appel à la repentance a été réitéré cette semaine par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, expliquant que le gouvernement s'engage devant le
"Parlement à poursuivre la politique de la réconciliation nationale. Pour rappel à la veille de la célébration du 43e anniversaire de l'Indépendance, le chef de l'Etat annonce aux Algériens qu'ils seront bientôt invités à se prononcer sur la Charte de la paix et la réconciliationnationale." Le 14 août 2005, le peuple estappelé par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à se prononcer,dans le cadre d'un référendum, sur le projet de ladite Charte.
Et c'est le 29 septembre 2005 que le bulletin bleu, le oui, l'emporte à plus de 97 %. Le projet prend alors la force d'une loi en février 2006, après adoption par le Parlement.
Le texte prenden charge plusieurs aspects du drame vécupar le peuple algérien.Selon Me Farouk Ksentini, président dela Commission nationale consultative dela promotion et la protection des droits del'Homme (2011-2017), "dix ans de terrorismeont failli venir à bout de l'Etatalgérien qui a miraculeusement tenu (...) Le bilan de cette charte est essentiellementpositif".
Cette semaine, le chef dugouvernement a relancé l'appel à renonceraux actes terroristes précisant à leursauteurs qu'ils ont le choix de se rendre outomber sous la coupe de la justice.En dix ans, de 2005 à 2015, quelque15.000 repentis ont bénéficié des disposition de la Charte.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 30/09/2017
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : LAKHADARI BRAHIM
Source : www.lemidi-dz.com