Pas moins de 1 000 taxis activant dans la capitale ont remis la clé sous la portière. A défaut d'avoir l'autorisation du ministère des Moudjahidine, les «taxieurs» se sont tournés vers d'autres activités. La raison est que ces licences de moudjahidine ne sont plus valables après la mort du moudjahid et du coup, les locataires de ces licences se retrouvent dans l'impossibilité d'exercer leur métier, sinon de faire face à des procédures désarmantes. Les autorités de la wilaya ont essayé de régler le problème et ce en coordination avec le ministère des Transports et celui des Moudjahidine afin de réserver un nouveau quota pour le début novembre. La Fédération algérienne des chauffeurs de taxi estime que cette licence constitue un obstacle et devrait donc être abrogée.
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Posté Le : 30/10/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L'Expression
Source : www.lexpressiondz.com