1 mort et 19 blessés à Beyrouth

Un kamikaze a fait exploser sa voiture lundi soir près d'un point de contrôle de l'armée dans le sud de Beyrouth, tuant un membre des services de sécurité et blessant plusieurs personnes qui regardaient un match de la Coupe du monde de football dans un café voisin. Une source sécuritaire a indiqué avant l'explosion de lundi que les forces de sécurité étaient à la recherche de deux poseurs de bombes présumés dans la capitale libanaise.Un kamikaze a fait exploser sa voiture lundi soir près d'un point de contrôle de l'armée dans le sud de Beyrouth, tuant un membre des services de sécurité et blessant plusieurs personnes qui regardaient un match de la Coupe du monde de football dans un café voisin. Une source sécuritaire a indiqué avant l'explosion de lundi que les forces de sécurité étaient à la recherche de deux poseurs de bombes présumés dans la capitale libanaise.Cette explosion survient trois jours après un attentat auquel a échappé le directeur de la Sûreté générale au Liban. Le pays subit une vague de violences communautaires liées à la guerre civile en Syrie voisine. L'explosion de lundi, qui s'est produite peu avant minuit, a tué le kamikaze et blessé 19 personnes. A l'hôpital Sahel, qui se trouve à proximité des lieux, 11 personnes légèrement blessées ont été soignées. Deux sources sécuritaires ont déclaré qu'un membre des services de sécurité a également été tué dans l'explosion de la voiture chargée de 25 kg d'explosifs. Selon l'agence de presse libanaise, il s'agit d'Abdoul Kareem Hodrej, membre de la Sûreté générale.Des images diffusées par Reuters Television ont montré la carcasse noircie d'une voiture, avec, tout autour, des véhicules endommagés. Les vitres des bâtiments aux alentours ont été brisées par le souffle de l'explosion qui s'est produite dans un quartier chiite du sud de la capitale libanaise où vivent des partisans du groupe chiite Amal, allié du Hezbollah. Des membres du Hezbollah se battent aux côtés des forces du président syrien Bachar al Assad, un alaouite, contre des insurgés principalement sunnites, soutenus par les sunnites du Liban. L'attentat suicide de vendredi près de la frontière syrienne a tué 1 policier et blessé 37 personnes.Cette explosion survient trois jours après un attentat auquel a échappé le directeur de la Sûreté générale au Liban. Le pays subit une vague de violences communautaires liées à la guerre civile en Syrie voisine. L'explosion de lundi, qui s'est produite peu avant minuit, a tué le kamikaze et blessé 19 personnes. A l'hôpital Sahel, qui se trouve à proximité des lieux, 11 personnes légèrement blessées ont été soignées. Deux sources sécuritaires ont déclaré qu'un membre des services de sécurité a également été tué dans l'explosion de la voiture chargée de 25 kg d'explosifs. Selon l'agence de presse libanaise, il s'agit d'Abdoul Kareem Hodrej, membre de la Sûreté générale.Des images diffusées par Reuters Television ont montré la carcasse noircie d'une voiture, avec, tout autour, des véhicules endommagés. Les vitres des bâtiments aux alentours ont été brisées par le souffle de l'explosion qui s'est produite dans un quartier chiite du sud de la capitale libanaise où vivent des partisans du groupe chiite Amal, allié du Hezbollah. Des membres du Hezbollah se battent aux côtés des forces du président syrien Bachar al Assad, un alaouite, contre des insurgés principalement sunnites, soutenus par les sunnites du Liban. L'attentat suicide de vendredi près de la frontière syrienne a tué 1 policier et blessé 37 personnes.