Si Ahmed Rodriguez Eduardo
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Boualem
Cité Hazoum el Bahiria
Route Sidi Youcef
Ouled Chebel Birtouta W. Alger
Monsieur Razali Boualem
Lors de une des dernières communications tu me prévenais que je m'adressais a un homme et tu semblais être gêné par mon ton et il est vraie que j'étais en furie.
Je pense que il est temps de te dire la réalité de ce que je sais de toi et au vu de là manière dont tu te comportes face a moi, sont nombreux les détails qui contredisent ton attitude actuelle, même si tu maintiens le contact et ce malgré la totale cacophonie de tes mots et partant des idées qui fourmillent dans ce que tu pourrais penser être ton cerveau.
L'on se connu un matin a la porte de ton logis que tu venais de monter depuis peu, tu enrageais, tu mugissais tel un taureau dans l'arène, tu tenais pas en place, tu vomissais ton oncle Mustafa Messou qui te trainait en justice pour je n'ai jamais su réellement pourquoi Résultat de la course ? Tu me filas ton avocat, le meilleur s'il en fut, et que je démasquait assez vite, tel la grue son maquereau a la petite semaine.
Plus tard lors d'un de mes voyages sur Ouled Chebel nous étions en voiture avec deux voisins auxquels je rémunérais un travail a effectuer dans la maison et voulant leur donner l'argent, soudain tu t'en emparas avec une célérité fulgurante, inoubliable geste qui démontrai ton avidité, besoin? en tout cas ton attirance, irrésistible pour les billets de banque, tant il fallut que j'insiste pour donner l'argent a ceux qui feraient le boulot.
Une chose me turlupine encore et a présent, au vu de ton attitude étrange pour le moins envers moi, je me demande si tes demandes de remboursement que tu exigeais de moi, parce que ton père aurait avançait de l'argent a Sebti puis son Fils Ahmed. Je me questionne, étais ce bien vraie ? Tu n'as pas pu oublier que jamais je n'ai opposé le moindre doute a ton récit et sans sourciller je t'ai remboursé, rubis sur l'ongle.
Lors de notre dernière rencontre,( 2018) elle a été longue, presque journalière par la force des choses, de ma situation de retenu sans liberté véritable, a la merci des racailles nuisibles et féroces, j'étais prisonnier et tu m'as montré de la bienveillance, de la sympathie, tu me donnais, m'apportais une assiette, un repas de temps en temps, comme aurais je pu penser, imaginer que tu faisais cela avec des intentions mesquines? Jamais ! Impossible !
La réalité de la relation entre toi Boualem et moi Eduardo ne se résume pas en quelques rencontres espacées dans les années passées. Je me déplace régulièrement tous les deux ans et ce depuis 2003. Tu est mon voisin comme Hamoude, on fini par se reconnaitre et malgré les difficultés a se comprendre on a tissé des liens que je qualifierait de confiance j'ai rencontré vos enfants, ce n'est pas banal, l'on n'est pas des étrangers. pour moi le respect s'impose et j'attache peu d'importance aux mots, souvent ils dépassent ce qu'on voudrait exprimer, seuls les actes, les faits, seuls eux révèlent la réalité, la vérité, savoir si cette relation est désintéressée, honnête, estimable, bonne.
Tu imagines que toute cette vie et oui ce sont des années vécues en commun, ensemble, la vie c'est cela aussi. Combien des gens on croise, on rencontre tous les jours et que l'on oublie le lendemain et sans aucun regret ni remords? On les compte pas ! Vraie ? Alors !
Aujourd'hui la communication est facile, très facile. Remettre en cause, en doute cette confiance longuement bâtie et a laquelle on restait attaché, ceci est acte qui compte, qui engage. Je n 'ai jamais consenti a déchoir, a se renier, a se diluer dans le médiocre, par je ne sais quoi de possible intérêt, avantage, indu.
Non ! Jamais je n'ai prié quelqu'un ni plié le genou devant quiconque, aussi je n'ai jamais trahi la confiance que je détiens des gens que je considère come amis. Jamais !
Hélas il est conseillé d'éviter ce mot, trop ferme, définitif, radical. Mais la mort aussi l'est !
Après tout on construit sa vie comme on peut mais, mourir c'est plus sérieux, a pas rater.
Ouled-Chebel, un matin de printemps le soleil caressant promettait des douceurs et bonheur, j'attendais le Géomètre Hamouda Mouloud il devait refaire le cadastrage, son collègue Benattou avait consciemment saboté mon dossier, donc Hamouda était la et voila. Nous sommes seuls, lui et son assistant ( aujourd'hui son successeur) mettant au point son intervention, je lui montre la totalité du terrain, la maison, le chemin de passage. Tout !
Plus tard pensant que le travail était fait je vais chercher Hamouda et que vois je ? il est en pleine discussion, en conférence, ce n'était pas prévu ni souhaité, qui y participait ? Ton frère Abdelkrim valet de Messou et toi mon bon Boualem, de quoi discutiez vous? Je n'ai rien voulu savoir ! Hamouda m'a dit ceci: Monsieur Eduardo vous avez des voisins méchants très méchants.
Je n'oublie pas les remarques de Hamouda, une bonne personne, plus tard il me suggéra que la largeur du chemin de passage n'avait pas été respecté, le sachant je décidais de l'ignorer par prudence et souci d'éviter des disputes même si mon droit avait été violé.
A l'évidence si l'on vérifie l'alignement de ce mur ? il est aisé de constater qu'il biaise et a savoir si la largeur est de 4 mètres plus au moins ? Cela mériterait bien sur une étude minutieuse et professionnelle. En fait Hamouda Mouloud avait raison, Pas vraie ???
Eduardo si Ahmed Rodriguez
Communications fournies derniérement
Bonsoir je vous ai dit que je ne suis pas un traître. Je me suis levé. Je me suis tenu avec vous contre un miso, mais c'est un voleur. Quant à la question du tracteur, cela veut dire quelque chose. Si vous voulez quitter la maison, laissez-le dans l'instant.
Vous êtes une personne sceptique qui m'a insulté et insulté sans preuves. Je ne suis pas comme vous le dites. Je ne veux pas de votre maison ou de votre terre. Je suis purifié de mon argent. Je m'ai expulsé de la maison.
Je ne suis pas occupé, comme tu le dis, ta maison et ta terre sont à toi.
Je ne saurai pas ce que vous voulez savoir sur l’officier, ou sur votre affaire, le tribunal de Boufarik. Vos prières et votre jugement sont terminés pour moi à la maison, et si vous engagez un avocat comme vous le dites, vous êtes libre, vous ne vous faites pas confiance, je n’ai rien de plus que cela.
Je comprends qui vous avez peur et je vous juge dans l’invisible comme la dernière fois, croyez-moi. Je suis comme quelque chose. Vous vous êtes retrouvé avec Ben Gilli et avec Meso Colo. Chaque fois que vous avez peu de preuves pour le document
J'ai oublié de te dire une cour de sagesse pour une expulsion et 150 000,00 ka amende pour moi, ta paix
Quoi penser de ces phrases ? c'est incompréhensible Rien a en tirer, si non un profond sentiment de être moqué et déconsidéré.
C'est Désolant et plus ça dure et plus sa saoule la tête!
eduardo
lundi 16 novembre 2020
Posté Le : 20/11/2020
Posté par : doujdouj
Ecrit par : Eduardo Si Ahmed
Source : ma vie