Alger - Autres événements culturels

Concert de Diana Haddad et Khaled : Didi didi, Aïcha et les autres



A l’initiative de l’association le Fennec d’or, la Coupole du complexe olympique Mohamed Boudiaf a abrité, mercredi dernier, un concert de chants avec la chanteuse libanaise Diana Haddad et Khaled.

La soirée devait débuter à 19 h. Elle a commencé à 21 h 07 : un retard de plus de plus de deux heures alors que la Coupole était pleine à craquer. Le concert est ouvert avec Diana Haddad, qui, durant une quarantaine de minutes, a gratifié le public de chansons sentimentales à l’exemple de Anta tabibi, Aâdab. Des chansons auxquelles elle a insufflé des airs populaires libanais où sont mis en valeur les percussions et les instruments à vent, à l’exemple de la flûte et de la clarinette. Elle termine sa production avec la chanson Uhibbuki ya Loubnan. Suit Khaled, qui marque son entrée sur scène avec une chanson sentimentale en duo avec Diana Haddad pour se produire ensuite en solo près de deux heures durant. Au bonheur du public qui a consommé en transe les chansons du King du raï. Ce dernier a aiguillonné la foule avec des chansons Sabri sabri iferedj rebbi, Ya rayi, Ya chabba ya chabba, Raki tayha. Puis, il interprète des textes de nostalgie comme Rouhi ya Wahrane avec des airs flamenco auxquels sont mêlés avec harmonie des sons de luth. Suit Ya Wahran où Khaled évoque les quartiers populaires d’El Bahia comme Sidi Lhouari, El Hamri et la place Tahtaha, entre autres. Autres chansons interprétées et connues du public, Trig lycée, Didi Didi, Aïcha, écoute-moi. Le chanteur qui termine la soirée avec Abdelkader Ya Boualem maintient l’assistance dans la même ambiance de fête et de divertissement. Tant mieux pour tout le monde.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)