4e édition du festival national de musique andalouse sana’a : Soirée de clôture aujourd’hui au Palais de la culture

Les spécifications peuvent être revues augmentées ou réduites à la demande du client, plusieurspropositions de design devrons peut être faites afin d’être valider par le client en d’autre termes nousavons libre choix dans le design mais sera tout de même valider..


La 4e édition du festival national de musique andalouse sana’a boucle son cycle de représentation musicale aujourd’hui, après avoir drainé durant une semaine un public de mélomanes. Placé sous le patronage de Khalida Toumi, ministre de la Culture, le festival national de la musique sana’a a pour objectif, selon ses concepteurs, de vulgariser la musique sana’a et de promouvoir le patrimoine national de cette musique ancestrale.



Le festival a donné ainsi l’opportunité au public de découvrir pas moins de pas moins de dix-huit associations musicales se sont rivalisés pour décrocher les deux prix de cette manifestation. L’association qui obtient la première place aura ainsi le privilège de figurer dans le programme du festival international de musique andalousienne et des musiques anciennes qui se tient chaque année du 21 au 30 décembre à la salle Ibn Zeiydoun de Riadh El Feth. Belle promotion que de se mesurer avec des ensembles plus aguerris et de niveau mondial. Cela pour dire que le festival national de musique andalouse sana’a sert d’une part de tremplin à de nombreuses associations musicales et d’autre part, de lieu de découvertes et d’agréables surprises. Des associations musicales qui subjuguent le public alors qu’elles viennent des villes qui n’ont pas de tradition en matière pratique de la musique andalouse. La soirée de clôture prévue donc ce soir à partir de 20h30 au Palais de la culture, se veut grandiose avec au programme le prestigieux ensemble national algérien de musique andalousienne que dirige, le chef d’orchestre Rachid Guerbas.

Créé en 2003, cet ensemble est selon son initiateur, Rachid Guerbas, une tentative de renouer avec les passerelles naturelles existantes entre ce qui est appelé injustement les trois écoles de musique andalouse, à savoir Tlemcen, Alger et Constantine.
El Moudjahid

Publié le 18/07/2010