STATION THERMO-MINÉRALE
D’HAMMÀM-RIGHA
(ALGÉRIE)
L‘Etablissement est ouvert toute l‘année.
Connue dès la plus haute antiquité, fréquentée par les Romains qui
avaient fait une de leurs plus brillantes stations, n’ayant pas cessé jusqu’à ce jour d’attirer beaucoup de foule,'la station thermo-mi¬nérale d’Hammam-R’ifha, grâce à de nombreux et récents travaux, répond
aux besoins variés des malades qui demandent à ses différentes sources la guérison de leurs maux. Séparé par une gorge profonde des collines voisines que surmonte le pic.du Zaccar, l’établissement, entouré de plantations, présente tout l’agrément et le confort désirables. Une magnifique terrasse domine toute la vallée de l’OUED EL HAMMAM. On y respire un air pur, l’élévation garantit des émanations paludéennes, et la brise de mer tempère les chalenrs de l’été - A une petite distance de rétablissement se trouve une forêt de pins de 800 hectares. Les charman¬tes promenades qu’on y peut faire à pied comme à cheval, l’air embaumé qu’on y respire sont autant d’attraits que tout le monde apprécie. A tous ces avantages, Hammam-Righa en joint un autre inestimable pour les Euro¬péens. Grâce, à un ciel toujours clément, les malades peuvent y continuer, même en hiver, un traitement que la mauvaise saison eut interrompue dans les.stations du continent Europeen. La situation d’Hammam-Righa, à 1heure 30 de d’Alger, en fait le rendez-vous na¬turel des Algériens, leur évitant tout voyage d’outre-mer. Cette eau d’une température de 43°, si heureusement 'minéralisée par la nature» coule en grande-abondance et sans interruption dans deux larges piscines, une pour les dames et l’autre pour les hommes. Elle combat avec succès les rhumatismes et la goutte chronique, les suites de blessures de guerre, les névralgies et certaines maladies de la peau parmi les plus re¬belles. Grâce a l’installation de bains témpérés, de douches chaudes et froides, écossaises et en cercle, on peut soigner avec d’immenses avantages toutes les affections qui réclament un traitement hydrothérapique complet.
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T RAITEMENT ‘ INTERNE"
LA SOURCE FROIDE ferrugineuse est très-agréable à boire seule; elle excite l’appétit et n’occasionne jamais la constipation reprochée aux préparations de fer. Elle est très efficace contre la chlorose, l’anémie, et particulièrement celle qui persiste si longtemps à la suite des Sèvres paindéennes. Elle a aussi une action très heureuse sur les gastralgies, les affec¬tions des reins et de la matrice, les suites de couches et la stérilité A la station de Bou-Medfa, , des taxis place et des mini bus attendent et conduisent les voyageurs en 1/4 jusqu’à l’établisse¬ment. Prix 25 DA par bus et 30 DA par taxi et par personne. Toutes les chambres ont des televisions, sont très confortables et meu¬blées avec goût. Des bungalows. Salle à.manger, excellente cuisine, café avec salle , chevaux et chameau pour promenades. Il existe deux piscines ou bassins de natation de peu de profondeur, des cabines pour bains isolés ou pour les douches et des salles chauffées où les mala¬des peuvent reposer après le bain. L’eau est d’une pureté et d’une transparence re¬marquables, communiquant, sans épaisseur, au fond et aux parois des piscines, une admirable teinte bleue. La température au griffon est de 45° c. (113° f ) dans le bain, elle varie entre 42° et 44° (107 à 110° f.). Elle reste dans la catégorie des salines chaudes, l’élément le plus abondant est le sulfate de chaux. La compo¬sition se rapproche beaucoup de celle de l’eau de Bath ou de Baden d’Autriche. L’analyse suivante donne la composition détaillée pour un litre.
ANALYSE DE LA SOURCE CHAUDE.
Température 45° O. (113° F.)
Carbonate de chaux grammes.
0 207
Carbonate de magnésie. .. 0 030
Sulfate de chaux 1 303
Sulfate de magnésie 0 172
Sulfate de soude *.... 0 017
Chlorure de sodium 0 439
Chlorure de potassium.... 0 091
Silicate de soude 0 069 .
#
Alumine 0 002
Peroxyde de fer des traces
Total 2.330
La première impression quand on pénètre dans la piscine, est presque pénible ; une fois l’immersion compiète, on ressent un véritable bien-être. Le pouls et la respiration subissent une certaine accélération, la peau rougit sensiblement. Après quelques instants survient généralement une transpiration, qui est en¬core favorisée par la saturation de l’atmosphère am¬biante. Rarement le bain est prolongé au delà de 10 à 15 minutes ; il est suivi d’un léger abattement. D’or¬dinaire on gagne le lit où on repose simplement dans la chambre étuve; il survient alors d’abondantes sueurs, après quoi, on se retrouve tout à l’aise et dis¬pos.
Les maladies dans lesquelles ces bains se montrent journellement efficaces sont : le rhumatisme chroni¬que articulaire ou musculaire, la goutte, les raideurs tendineuses, les douleurs erratiques, les névralgies d’origine rhumatismale, certaines lésions osseuses et certains troubles circulatoires, la scrofule, les mala¬dies nerveuses et cutanées.
Les affections des os dans lesquelles elles réussis¬sent, sont : la périostite, la carie, les consolidations vicieuses. Elles rendent de grands services dans les anciennes blessures de guerre, les cicatrices doulou¬reuses, les ulcères chroniques, puis dans les engorge-ments ganglionnaires, les varices, la chorée, les syphilides. La prostatite, le catarrhe vésical ou rénal s’en trouvent également bien. Le catarrhe et les ulcéra¬tions du col de rutêrüs cèdent à l’application des dou¬ches chaudes. *
Mais à cela ne se bornent pas les ressources hygié¬niques d’Hammam-Righa. A moins d’un mille de dis¬tance, naît une eaü ferrugineuse un pavillon où elle se distribue. Cette eau ren¬ferme du carbonate de fer et de l’acide carbonique li¬bre, puis quelques sels donnés par l’analyse sui¬vante :
ANALYSE DE LA SOURCE FROIDE FERRUGINEUSE
Température 19° c. (66. 2 F).
Un litre d’eau renferme les substances suivantes :
, grammes.
Bicarbonate de fer 0 0100
Acide carbonique 0 8820
Bicarbonate de chaux ... 0 9411
Bicarbonate de magnésie 0 0314
Bicarbonate de strontiane des traces.
Bicarbonate de manganèse 0 0008
1 8653
Sulfure de calcium 0 5338
Sulfate de magnésie... 0 1623
Sulfate de soude 0 3425
Chlorure de sodium 0 2801
Chlorure de potassium des traces
Silicate de soude 0 0240
Alumine 0 0020
Substances organiques des traces
Arsénié et phosphore id.
Total 3 2100
La proportion du fer est trop faible pour que l’eau en contracte une saveur atramentaire désagréable ; l’acide carbonique est en quantité suffisante pour en faire une très agréable eau de table gazeuse
MOHAMEDELMOKEDDEM - MODELISTE EN RETRAITE - HAMMAM RIGHA, Algérie
29/12/2014 - 232150
LA STATION DHAMMAM-RIGHA
Situé à quelque distance dAlger, sur la grande ligne qui relie cette -ville à Oran, Hammam-Righa est desservi par plusieurs autocars et trains par jour. Cette facilité daccès fut un des éléments de son succès, car elle permet même au malade le plus impotent de se rendre à létablissement quel que soit son état de santé. Il nest point de touristes, résidant quelques jours à Alger, qui ne viennent lla visiter, attirés par la réputation de ses eaux, par la beauté et le pittoresque des montagnes qui lenvironnent.
Une heure trente minutes suffisent pour franchir les 91 kilomètres séparant Alger de Bou-Medfa. Lautoroute traverse dabord la riche plaine de la Mitidja et sengage ensuite à travers le massif montagneux des Soumata en suivant la vallée de lOued-Djer. Le pays change alors complètement daspect, devient pittoresque et sauvage. On ne tarde pas à atteindre le carrefour routier de Bou-Medfa. Cest là que les mini bus et taxi dHammam-Righa attendent le voyageur pour lui faire franchir les douze kilomètres séparant la gare de létablissement thermal. Une demi heure suffit à ce trajet. Il faut sur cette courte distance sélever denviron 300 mètres pour atteindre aux 525 mètres daltitude où se dresse la station thermale. Cest dire tout le pittoresque du chemin et quelles perspectives variées soffrent au voyageur.
On longe tout dabord la rive gauche de lOued-Djer, bordé de lauriers roses et de tamarix, roulant ses eaux jaunâtres parmi les galets de son lit démesuré. La route se dirige ensuite vers lOuest piquant droit sur le Zaccar, dont la masse imposante domine tout le paysage.
Avec de fortes rampes, décrivant de nombreux lacets, elle sélève peu à peu sur le flanc gauche de la profonde vallée de lOued-el- Hammam. A chaque tournant cest un nouvel aspect, peu à peu la perspective sétend et lon finit par dominer un immense panorama de montagnes. Le pays est âpre et sauvage. De tous côtés ce sont des vallées encaissées aux flancs abrupts formés dargiles nues profon-dément ravinées par les pluies. A côté de pentes rocheuses, couvertes dépais fourrés de lentisques, de jujubiers et darbousiers, séten-dent des plateaux riches en terre végétale où le blé et la vigne poussent vigoureusement. Dispersés de tous côtés des oliviers sauvages, dénormes caroubiers au massif feuillage sombre, dressent leur tronc noueux . De temps à autre, , s
On atteint le Plateau dHammam-Righa, on traverse le petit village Encore 1.500 mètres pendant lesquels la route tracée à flanc de coteau domine la vallée de Oued-el-Hammam dont on aperçoit le ruban dargent se dérouler capricieusement à 250 mètres plus bas, et lon entre dans le parc de létablissement.
La végétation luxuriante entretenue par les eaux qui murmurent de tous côtés, font de ce parc une merveilleuse oasis de verdure. Une large avenue bordée de palmiers, de lataniers, de caroubiers, deucalyptus, la traverse conduisant par une pente douce a la reception de lhôtel ZACCAR placé dans une situation dominante.
Historique
Cest en ces lieux que sélevait il y a plus de 10 siècles la ville romaine dAquæ Calidæ. Nous ne connaissons rien de ses origines, la première mention qui en soit faite se trouve dans litinéraire dAntonin, dressé en 44 av. J. C. et revue sous Théodose II. Il en détermine lemplacement à 25.000 pas de Julia Cæsarea (37 kilomètres de Cherchell). Une colonie de vétérans y avait été installée pour assurer la sécurité. A labri du castellum une ville se développa, promptement devenue, grâce aux vertus de ses eaux et au pittoresque de ses environs, la ville deaux et le plaisir des riches citoyens de Julia Cæsarea et de Tipaza. Ville importante puisque, daprès M. Victor Vaille,- elle couvrait une aire de terrain de 1000 mètres sur 600. A lheure actuelle il est facile de se rendre compte de ses dimensions ; les grandes pierres dangle des maisons sélèvent encore au-dessus du niveau des terres simposant à lattention du voyageur, le parc et tous les terrains qui sétendent en arrière en sont parsemés. Le sol est couvert de tuiles, de débris de poteries, souvent après les pluies on trouvé çà et là des monnaies. Il nest pas un habitant des environs qui n'ait du reste quelques « sous romains »
Jamais lon a pratiqué de fouilles méthodiques, il y a là tout un champ vierge soffrant à lactivité de larchéologue. Derrière les ruine apres le seisme du 10 octobre 1980 derriere le Grand Hôtel on a reconnu des temples, un grand bâtiment à colonnes, probablement des thermes, car on y a mis à jour de curieux restes de piscines. Ptolémée en 125 parle des eaux dAquæ Calidæ. La ville fut longtemps importante puisque, de 303 à 484, quatre évêques sy succèdent. Linvasion vandale du ve siècle dut lui porter un coup fatal ; à partir de ce moment on perd sa trace dans lhistoire pour ne la retrouver quen 1580.
Les géographes arabes en parlent vaguement. El-Bekri lappelle une petite ville, Edrisi un bourg. Mais même au milieu de cette dé-cadence, les eaux avaient conservé leur réputation. Daprès M. de Grammont, Diego de Haëdo, dans son histoire des rois dAlger, ra-conte quHammam-Righa était très fréquenté par les Arabes, même après la destruction des thermes et de la ville. Daprès Shaw ils se servaient de deux piscines romaines qui avaient survécu, lune étant destinée aux Arabes, lautre aux Juifs.
On peut dire que depuis le début de lère chrétienne, les eaux dHammam-Righa nont pas cessé dêtre prisées pour leurs vertus
.a suivre mohnegro
EL MOKEDDEM MOHAMED - Modeliste en retraite - HAMMAM RIGHA, Algérie
26/12/2014 - 231533
Les eaux minérales de HAMMAM RIGHA froides ou thermales jouissent à lheure actuelle dune faveur sans cesse grandissante amplement méritée par les remarquables effets curatifs quelles exercent sur un grand nombre daffections restées radicalement rebelles aux efforts de toute autre thérapeutique. Aussi dans la plupart des états morbides chroniques, tels par exemple ceux qui dérivent de la diathèse arthritique, tous les médecins saccordent-ils à prescrire ce médicament complexe mais efficace, la Saison dEaux .
Quand il sagit dune saison dété, on na que lembarras du choix, la France, lAngleterre, lAllemagne, lAutriche offrent à lenvi leurs multiples ressources hydro-minérales. Il nen est plus de même lorsque simpose une saison dhiver. Les stations européennes ne sont ouvertes que de mai à septembre, et tout le reste de lannée le malade se trouve privé de cette médication souvent nécessaire. Certaines dentre elles restent bien entrouvertes pendant la mauvaise saison, mais la rigueur du climat dhiver y rend le traitement si pénible et souvent si dangereux, que la plupart des médecins ont complètement renoncé aux « Cures dhiver » accomplies dans ces conditions.
Quant aux stations dhiver, telles par exemple celles de laRiviera Française ou Italienne, ce sont uniquement des stations climatériques, et nulle dentre elles noffre de ressources hydrominérales sérieuses.
Cest donc à dautres régions quil faut sadresser et, parmi toutes les contrées méridionales, cest certainement lAlgérie qui devrait .tout particulièrement attirer lattention du malade et du médecin . Elle réunit en effet toutes les conditions désirables. Sa proximité,, ses voies daccès faciles, tout lindique au citadin qui ne veut pas' trop séloigner de sa famille ou du centre de ses affaires. Son climat dhiver est infiniment supérieur à tous les climats de la Riviera. Dans ces stations de lEurope méridionale on trouve, en effet, un hiver mitigé, mais rien de comparable à cette inaltérable douceur de température et datmosphère qui font de lhiver algérien un véritable printemps dEurope.
Enfin, elle offre au malade toute une richesse de sources minérales froides ou chaudes qui ne lui laissent rien à envier aux contrées les plus favorisées dEurope.
Les Romains, nos maîtres dans lart dutiliser les eaux, avaient compris toute limportance de cette inépuisable richesse et sétaient empressés de la mettre en valeur. Sous leur domination, lAfrique du Nord entière sétait couverte de stations thermales, et il nest point de source minérale importante à côté de laquelle on ne retrouve des vestiges de leurs établissements. LAfrique nest pas malheureusement sous ce rapport à la hauteur de lAfrique Romaine.
Quantités de sources sont inexploitées, à peine peut-on citer, perdues çà et là sur son immense territoire, quelques stations encore dans lenfance.
Il en est une cependant qui a fait lobjet defforts réptés et constants, soutenues par des capitaux importants. Efforts couronnés de succès. Sortie depuis longtemps de la période denfance et dorganisation, Hammam-Righa est à lheure actuelle la seule station hydrominérale de lAlgérie qui constitue à proprement parler une Station Thermale digne dêtre comparée aux stations thermales de France, dAllemagne ou dAngleterre.
Lexcellence de ses eaux et le charme de son climat lavaient autrefois signalée aux Romains de Julia Cæsarea qui y avaient élevé la station dAquæ Calidæ, ville deaux et de plaisir de la capitale de la Mauritanie Césarienne. Les eaux ni le climat nont changé, et si la ville romaine a disparu sous linjure des siècles, un luxueux établissement moderne le ZACCAR sest élevé sur ses ruines ne laissant rien à désirer- pour le bien-être et le plaisir du malade qui sy vient traiter.
.....moh negro.....Asuivre
Mohamed El Mokeddem - MODELISTE EN RETRAITE - HAMMAM RIGHA, Algérie
25/12/2014 - 231188
Les eaux minérales de HAMMAM RIGHA froides ou thermales jouissent à lheure actuelle dune faveur sans cesse grandissante amplement méritée par les remarquables effets curatifs quelles exercent sur un grand nombre daffections restées radicalement rebelles aux efforts de toute autre thérapeutique. Aussi dans la plupart des états morbides chroniques, tels par exemple ceux qui dérivent de la diathèse arthritique, tous les médecins saccordent-ils à prescrire ce médicament complexe mais efficace, la Saison dEaux .
Quand il sagit dune saison dété, on na que lembarras du choix, la France, lAngleterre, lAllemagne, lAutriche offrent à lenvi leurs multiples ressources hydro-minérales. Il nen est plus de même lorsque simpose une saison dhiver. Les stations européennes ne sont ouvertes que de mai à septembre, et tout le reste de lannée le malade se trouve privé de cette médication souvent nécessaire. Certaines dentre elles restent bien entrouvertes pendant la mauvaise saison, mais la rigueur du climat dhiver y rend le traitement si pénible et souvent si dangereux, que la plupart des médecins ont complètement renoncé aux « Cures dhiver » accomplies dans ces conditions.
Quant aux stations dhiver, telles par exemple celles de laRiviera Française ou Italienne, ce sont uniquement des stations climatériques, et nulle dentre elles noffre de ressources hydrominérales sérieuses.
Cest donc à dautres régions quil faut sadresser et, parmi toutes les contrées méridionales, cest certainement lAlgérie qui devrait .tout particulièrement attirer lattention du malade et du médecin . Elle réunit en effet toutes les conditions désirables. Sa proximité,, ses voies daccès faciles, tout lindique au citadin qui ne veut pas' trop séloigner de sa famille ou du centre de ses affaires. Son climat dhiver est infiniment supérieur à tous les climats de la Riviera. Dans ces stations de lEurope méridionale on trouve, en effet, un hiver mitigé, mais rien de comparable à cette inaltérable douceur de température et datmosphère qui font de lhiver algérien un véritable printemps dEurope.
Enfin, elle offre au malade toute une richesse de sources minérales froides ou chaudes qui ne lui laissent rien à envier aux contrées les plus favorisées dEurope.
Les Romains, nos maîtres dans lart dutiliser les eaux, avaient compris toute limportance de cette inépuisable richesse et sétaient empressés de la mettre en valeur. Sous leur domination, lAfrique du Nord entière sétait couverte de stations thermales, et il nest point de source minérale importante à côté de laquelle on ne retrouve des vestiges de leurs établissements. LAfrique nest pas malheureusement sous ce rapport à la hauteur de lAfrique Romaine.
Quantités de sources sont inexploitées, à peine peut-on citer, perdues çà et là sur son immense territoire, quelques stations encore dans lenfance.
Il en est une cependant qui a fait lobjet defforts réptés et constants, soutenues par des capitaux importants. Efforts couronnés de succès. Sortie depuis longtemps de la période denfance et dorganisation, Hammam-Righa est à lheure actuelle la seule station hydrominérale de lAlgérie qui constitue à proprement parler une Station Thermale digne dêtre comparée aux stations thermales de France, dAllemagne ou dAngleterre.
Lexcellence de ses eaux et le charme de son climat lavaient autrefois signalée aux Romains de Julia Cæsarea qui y avaient élevé la station dAquæ Calidæ, ville deaux et de plaisir de la capitale de la Mauritanie Césarienne. Les eaux ni le climat nont changé, et si la ville romaine a disparu sous linjure des siècles, un luxueux établissement moderne le ZACCAR sest élevé sur ses ruines ne laissant rien à désirer- pour le bien-être et le plaisir du malade qui sy vient traiter.
.....moh negro.....Asuivre
MOHNEGRO - MODELISTE EN RETRAITE - HAMMAM RIGHA, Algérie
19/12/2014 - 229672
salut : svp je vous demande des renseignement sur location des chambre a l' hotel pour deux personne merci
elhadi zer - el harrach, Algérie
29/11/2010 - 8766
j aimerai par le peu que je peu porter ma colaboration a enrichir ce site qui met en avant mon village natal et celui de mes ancetre MOH NEGRO
EL MOKEDDEM MOHAMED - MODELISTE EN CONFECTION - HAMMAM RIGHA
27/05/2010 - 5381
Posté Le : 20/05/2008
Posté par : y-boudghene
Source : www.alger-roi.net